La confidentialité est au cœur de notre travail à Google et de notre vision d’un Internet prospère où quiconque peut continuer d’accéder à du contenu financé par la publicité sans craindre pour l’intégrité de ses données. Pour concrétiser cette vision, nous devons accroître la transparence relative au fonctionnement de la publicité numérique, offrir aux internautes des contrôles supplémentaires et veiller à ce que les choix des gens quant à l’utilisation de leurs données soient respectés – et non contournés ou ignorés.
La confidentialité est au cœur de notre travail à Google et de notre vision d’un Internet prospère où quiconque peut continuer d’accéder à du contenu financé par la publicité sans craindre pour l’intégrité de ses données. Pour concrétiser cette vision, nous devons accroître la transparence relative au fonctionnement de la publicité numérique, offrir aux internautes des contrôles supplémentaires et veiller à ce que les choix des gens quant à l’utilisation de leurs données soient respectés – et non contournés ou ignorés. 


Aujourd’hui, nous faisons le point sur notre travail dans ces domaines, y compris sur les nouveaux outils qui fournissent aux gens plus de renseignements sur les annonces qu’ils voient. Nous lançons également de nouvelles ressources qui offrent aux spécialistes du marketing et aux éditeurs des conseils pour s’y retrouver dans l’environnement actuel de protection des renseignements personnels ainsi que des exemples concrets de marques et d’entreprises médiatiques qui utilisent les données de façon responsable pour offrir des expériences publicitaires efficaces axées sur la protection des renseignements personnels. 



Une plus grande transparence et un meilleur contrôle 
Depuis de nombreuses années, Google propose la fonction Pourquoi cette annonce qui, à partir d’une icône insérée dans une annonce numérique, permet aux internautes d’obtenir plus de renseignements sur certains des facteurs ayant servi à cibler l’annonce pour eux, ou de choisir de ne plus voir cette annonce. Plus de 15 millions d’interactions avec cette fonction sont enregistrées quotidiennement, car les internautes cherchent à mieux comprendre et contrôler les annonces qu’ils voient, et nous avons récemment étendu cette fonction aux publicités sur les télévisions connectées. 


Au cours des prochains mois, nous améliorerons l’expérience en lançant la nouvelle fonction À propos de cet annonceur, qui indiquera également aux utilisateurs le nom vérifié de l’annonceur derrière chaque annonce. La fonction À propos de cet annonceur sera intégrée aux publicités graphiques achetées par l’intermédiaire de Google Ads et de notre logiciel Display & Video 360, et nous l’intégrerons à d’autres surfaces publicitaires en 2021. 


Notre engagement à accroître la transparence et à offrir un meilleur contrôle va au-delà des annonces diffusées par Google. À cause de la complexité de l’écosystème des publicités numériques et du grand nombre d’entités concernées, les internautes ont habituellement de la difficulté à identifier les entreprises qui prennent part à la diffusion d’une annonce. Dans le but de fournir des renseignements détaillés sur toutes les annonces vues sur le Web, nous lançons une nouvelle extension de Chrome appelée Ads Transparency Spotlight, maintenant offerte en version alpha dans le Chrome Web Store. Nous continuerons d’améliorer cette extension selon les commentaires des utilisateurs. Nous prévoyons ajouter au fil du temps d’autres renseignements sur les publicités et mettre en place des contrôles additionnels. Nous espérons que d’autres fournisseurs de technologies nous emboîteront le pas et intégreront des capacités de transparence et de contrôle similaires dans les expériences qu’ils offrent.



Évolution d’Internet financé par la publicité 
Chrome continue d’explorer d’autres façons de soutenir les publicités numériques tout en renforçant la protection des renseignements personnels, entre autres grâce à Privacy Sandbox, l’initiative de normes ouvertes. Dans le cadre de cette initiative, plusieurs nouvelles interfaces de programmation d’application (API) ont été proposées pour résoudre des cas d’utilisation tels que la sélection d’annonces, la mesure des conversions et la protection contre la fraude, sans révéler de renseignements d’identification sur les utilisateurs. L’une de ces API, qui suggère de combattre la fraude au moyen de jetons de confiance permettant de faire la distinction entre les robots et les utilisateurs réels, est maintenant à la disposition des développeurs qui souhaitent en faire l’essai, et d’autres seront bientôt soumises à des essais en situation réelle. 


Lorsque ces démarches auront satisfait aux besoins des utilisateurs, des éditeurs et des annonceurs, Chrome prévoit éliminer progressivement le soutien aux témoins de tierces parties. Ces propositions font l’objet de nombreuses discussions dans le cadre de forums comme le W3C. Notre équipe publicitaire contribue activement à ce dialogue, et nous encourageons toute partie intéressée à faire de même. Nous prévoyons intégrer les nouvelles solutions à nos produits dans les années à venir. 


Nous explorons également d’autres approches pour améliorer la protection des renseignements personnels des internautes tout en veillant à ce que les éditeurs gagnent ce dont ils ont besoin pour financer de l’excellent contenu et à ce que les annonceurs puissent atteindre les bonnes clientèles pour leurs produits. Par exemple, nous appuyons l’utilisation des données internes des annonceurs et des éditeurs (obtenues directement auprès des clients avec lesquels ils sont en relation) pour offrir des expériences plus pertinentes et utiles, à condition que les internautes aient un droit de regard et exercent un contrôle sur l’utilisation de leurs données. Nous considérons comme inacceptable le recours à des techniques opaques ou cachées selon lesquelles les données sur les internautes sont transférées, puis suivies clandestinement, comme des empreintes digitales. Nous pensons que toute tentative de suivi ou d’obtention de renseignements d’identification sans la connaissance ni l’autorisation des personnes concernées devrait être bloquée. Nous continuerons de nous opposer fermement à ces pratiques. 


La récente conversation sur une meilleure protection des renseignements personnels dans le contexte de la publicité numérique a majoritairement porté sur le Web, mais il existe un éventail d’environnements dans lesquels les gens échangent avec des annonces numériques. Notre approche technique et les détails de la mise en œuvre peuvent varier en fonction des caractéristiques uniques de chacun, mais notre vision de rehausser la protection des renseignements personnels des internautes tout en préservant l’accès au contenu libre est cohérente pour l’ensemble du Web, des applications mobiles, des services de télévision connectée, de l’audio numérique et de tout autre domaine à venir. 



Conseils à l’intention des annonceurs et des éditeurs 
L’avenir de la publicité numérique laisse présager l’avènement de nouvelles technologies, de nouvelles normes et d’approches meilleures et plus durables, mais il mettra du temps à se réaliser. Nous sommes conscients du malaise que de nombreux membres de l’industrie ressentent pendant cette période de transition. Même si d’autres changements se profilent à l’horizon, il est essentiel que les spécialistes du marketing et les éditeurs réagissent rapidement. 


Pour les aider à se préparer, nous avons réuni un certain nombre de recommandations que les spécialistes du marketing et les éditeurs peuvent consulter dès aujourd’hui. Dans ces guides, vous trouverez des pratiques exemplaires pour établir des relations directes avec vos clients et gérer des données, des conseils pour évaluer vos relations avec vos partenaires et fournisseurs, des exemples concrets d’utilisation de l’apprentissage automatique et du nuage, des conseils pratiques et de nombreux exemples réels d’entreprises qui réussissent à s’adapter aux nombreux changements qui touchent la protection des renseignements personnels. 


Nous poursuivrons nos efforts afin de faire progresser l’industrie de la publicité numérique vers un avenir axé davantage sur la protection de la vie privée. Entre-temps, assurez-vous que votre organisation tient de réelles discussions à ce sujet et qu’elle prend aujourd’hui des mesures pour l’avenir. 


Publié par Mike Schulman, vice-président, Publicité, confidentialité et sécurité

Établie en 1904 à Oklahoma, The Lawton Constitution est un des 5 600 bénéficiaires du Fonds d’aide d’urgence pour le journalisme de Google. Engagé à servir le journalisme communautaire local, l’éditeur du journal, David Stringer, sait à quel point il peut être difficile d’accomplir sa mission, même avec les meilleures intentions. « Peu importe le coût, nous savons que des citoyens désirent lire le journal, mais qu’ils n’en ont pas les moyens. » dit-il. The Lawton Constitution a donc eu recours au Fonds d'aide d'urgence pour subventionner la moitié des coûts d’un abonnement pour ceux dans le besoin qui désirent rester informés, donnant ainsi à la communauté un accès à de l’information importante tout en créant des relations pour le futur.
Établie en 1904 à Oklahoma, The Lawton Constitution est un des 5 600 bénéficiaires du Fonds d’aide d’urgence pour le journalisme de Google. Engagé à servir le journalisme communautaire local, l’éditeur du journal, David Stringer, sait à quel point il peut être difficile d’accomplir sa mission, même avec les meilleures intentions. « Peu importe le coût, nous savons que des citoyens désirent lire le journal, mais qu’ils n’en ont pas les moyens. » dit-il. The Lawton Constitution a donc eu recours au Fonds d'aide d'urgence pour subventionner la moitié des coûts d’un abonnement pour ceux dans le besoin qui désirent rester informés, donnant ainsi à la communauté un accès à de l’information importante tout en créant des relations pour le futur. 



En Corée du Sud, Kim Hong-tak, du Jeonnam Ilbo utilise les fonds fonds pour mettre en évidence la résilience des entreprises locales affectées par la COVID-19. La publication a créé une chronique dédiée aux petites et moyennes entreprises pour souligner leurs forces et leurs valeurs. La chronique sert de liaison entre les entreprises et les agences gouvernementales pour avoir accès à plus de soutien. 



En Grande Bretagne, DC Thomson a utilisé les fonds pour venir en aide aux équipes de nouveau contenu afin de les aider à générer 10 000 abonnés pendant le confinement. En Argentine, El Diario a publié un éditorial qui explique comment les fonds les aideront « à continuer… à garder les voix de notre ville et de notre région en vie ». De plus, au Canada, Narcity Media se servira des fonds pour agrandir leur équipe en employant au moins un à deux nouveaux journalistes. 



Ce ne sont que quelques témoignages parmi plusieurs depuis le lancement du Fonds d’aide d’urgence pour le journalisme de Google en avril. Quand la COVID-19 a frappé le globe, nous ne savions pas à quoi nous attendre. L’intention était claire: aider à répondre à un besoin réel des éditeurs locaux et des sites de nouvelles à travers le monde qui font face à des difficultés financières en raison du ralentissement économique et publicitaire. 



Depuis les derniers mois, nous avons offert 39.5 millions de dollars en financement aux éditeurs dans 115 pays. D’assurer les besoins principaux du journalisme et permettre aux journalistes, à l’aide de bourses d’urgence, de couvrir les nouvelles en temps de crise, à engendrer un engagement et à augmenter les abonnements chez les lecteurs, les fonds sont utilisés de manières diverses et créatives. 


Dans les deux semaines suivant l’annonce, nous avons reçu plus de 12 000 soumissions. Cette réaction massive nous a permis de comprendre ce que « local » veut dire dans plusieurs régions du monde et comment la dynamique allant de la grosseur de la salle de nouvelles à la structure d’entreprise peut varier d’une région à l’autre et d’une communauté à l’autre. Par exemple, le nombre moyen de journalistes dans une salle de nouvelles en Asie-Pacifique est de 20 alors qu’en Amérique du Nord, il est de 8. 


Nous avons appris grâce aux éditeurs que la publicité demeure l’unique source de revenu pour la plupart des bénéficiaires du Fonds d’aide d’urgence pour le journalisme de Google avec 50% d’entre eux affirmant être complètement dépendants de la publicité. Un sondage que nous avons mené a aussi montré que moins de 30% des bénéficiaires utilisent une forme de « paywall », tandis que 18% comptent sur les contributions et les abonnements pour soutenir leur journalisme. Cependant, cette situation est en train de changer avec 60% des bénéficiaires qui prévoient diversifier leurs sources de revenu en développant des modèles d’abonnement, d’adhésion ou de contribution. 


En plus, près de 20% des publications nous ont indiqué qu’ils priorisaient un besoin de changement culturel, incluant une importance de diversité, d’équité et d’inclusion ainsi que des changements au niveau organisationnel et au niveau de la gestion d’entreprise. 


La pandémie a affecté tout le monde et les organisations de nouvelles locales ont été les premières ressources à aider leurs communautés à s’informer sur la COVID-19. Chez Google News Initiative, nous essayons de faire notre part avec ce mode de financement ainsi qu’avec d’autres initiatives. Nous travaillons tous dans l’intérêt commun d’une industrie des nouvelles mondiale durable, diversifiée et innovante. 

L'objectif de Google Play a toujours été de vous offrir le meilleur des jeux, applis et contenus numériques. Puisque tout le monde est un peu différent, nous avons voulu créer une nouvelle façon de profiter de ces expériences numériques : le Google Play Pass. Et nous sommes heureux de vous annoncer que le Play Pass fait son entrée au Canada.


L'objectif de Google Play a toujours été de vous offrir le meilleur des jeux, applis et contenus numériques. Puisque tout le monde est un peu différent, nous avons voulu créer une nouvelle façon de profiter de ces expériences numériques : le Google Play Pass. Et nous sommes heureux de vous annoncer que le Play Pass fait son entrée au Canada.

Le Google Play Pass est un service d’abonnement qui vous donne accès à des centaines d’applis et de jeux entièrement déverrouillés : finis les annonces, les achats au moyen de l’appli et les paiements initiaux. Le Play Pass vous offre une gamme d’applis de qualité soigneusement sélectionnées. Profitez de classiques comme Sonic the Hedgehog et de nouveaux titres comme Levelhead, en passant par des jeux indépendants primés comme Stardew Valley et des applis pratiques comme Photo Studio Pro. De nouvelles applis et de nouveaux jeux seront aussi ajoutés tous les mois.

Le Play Pass arrive sur les appareils Android du Canada cette semaine. Abonnez-vous pour profiter d’un mois à nos frais, puis payez seulement 5,99 $/mois (ou économisez un peu en choisissant un abonnement annuel à 34,99 $/année).

Des applis et des jeux que vous adorez déjà, et plusieurs autres à découvrir

La collection du Play Pass couvre des centaines de titres allant des jeux relaxants aux applis de productivité. Selon nous, les créateurs de Monument Valley ont su trouver exactement les bons mots pour le décrire. Comme l’a dit Maria Sayans, PDG des jeux Ustwo : « Le Play Pass encourage les gens à vivre de nouvelles expériences à côté desquelles ils auraient pu passer. »

Vous pourrez trouver des jeux populaires comme Monument Valley, Terraria et Star Wars: Knights of the Old Republic, et bien d’autres titres incroyables que vous ne connaissez peut-être pas encore, comme LIMBO, This War of Mine, Teslagrad et plus encore. Aussi, vous aurez toujours du nouveau à découvrir : nous ajoutons du contenu tous les mois, y compris des grands titres comme The Gardens Between et Kingdom Rush, qui feront leur arrivée sous peu, et des nouveautés qui entreront cette année sur le marché par l’entremise du Play Pass, comme Bright Paw de Rogue et Line Weight de The Label.



Pour rendre tous ces jeux et applis plus faciles à trouver, nous avons créé un nouvel onglet Play Pass pour les abonnés. Les applis et les jeux Play Pass peuvent aussi être trouvés dans le Play Store : il suffit de chercher l’icône de billet. Tous les jeux et toutes les applis de la page d'accueil du Play Pass ainsi que ceux et celles du Play Store qui affichent l’icône de billet sont entièrement déverrouillés dès que vous vous abonnez.

Partagez du contenu avec votre famille

Tout comme pour la bibliothèque familiale Google Play, vous pouvez partager votre abonnement Play Pass avec un maximum de cinq autres membres de votre famille Google. Chacun pourra ensuite utiliser le Play Pass de manière individuelle, ce qui signifie que votre compte ne sera pas influencé par les téléchargements des autres. Le Play Pass vous offre également un vaste choix d’applis et de jeux adaptés à tous les âges, comme Sesame Workshop et Learny Land, pour que toute la famille puisse en profiter.

C’est parti

Dès le lancement du Play Pass cette semaine, vous pourrez commencer votre période d’essai en ouvrant le menu en haut à gauche du Play Store de votre appareil Android puis en cliquant sur « Play Pass ». Pour en savoir plus, cliquez ici. Amusez-vous bien!

C’est l’été dans bien des régions du monde et les gens sont plus nombreux à chercher un moyen sécuritaire d’effectuer leurs déplacements. Résultat? Ils enfourchent leur vélo. Depuis février, les demandes d’itinéraires à vélo dans Google Maps ont augmenté de 69 % et ont atteint un nombre record ce mois-ci. Que les gens pédalent pour faire de l’exercice ou pour se déplacer en toute sécurité pendant la pandémie de COVID-19, sur leur propre bicyclette ou dans le cadre d’un service de vélo-partage, nous facilitons leurs déplacements dans le monde entier.

 

Il y a 10 ans, nous avons lancé les itinéraires à vélo dans Google Maps. Ce service est maintenant disponible dans une trentaine de pays et utilisé par des millions de personnes chaque jour. Les habitudes de cyclisme changent, surtout avec l’évolution de la COVID-19. C’est pourquoi nous mettons constamment l’information à jour pour vous aider à trouver l’itinéraire le plus fiable.


Faire passer les déplacements à vélo à un autre niveau


Pour vous proposer les itinéraires les plus à jour, nous combinons l’apprentissage machine, des algorithmes complexes et notre compréhension des conditions du monde réel fondée sur des images et des données fournies par les autorités gouvernementales et la communauté. Nous tenons également compte des surfaces et des obstacles sur les voies cyclables et dans les rues avoisinantes qui pourraient rendre votre trajet moins agréable (comme les tunnels, les escaliers et le mauvais état de la chaussée). Vous pouvez ainsi emprunter l’itinéraire le plus fluide. Vous pouvez aussi voir si votre trajet s’annonce plutôt plat ou en pente raide. Vous saurez ainsi si une petite balade vous attend ou si vous partez pour une véritable séance d’exercice. 


Le choix du meilleur itinéraire peut toujours changer. C’est pourquoi nous nous efforçons de tenir compte des nouvelles informations. Par exemple, en raison de la COVID-19, de nombreuses villes ajoutent et élargissent des pistes cyclables pour encourager les déplacements en vélo et permettre à davantage de cyclistes de circuler. Dans les mois à venir, nous intégrerons des centaines de milliers de nouvelles pistes cyclables à Google Maps. Les agences gouvernementales locales peuvent fournir ces données par l’intermédiaire de notre outil de téléversement de données géographiques pour que leurs dernières informations sur les pistes cyclables soient accessibles. 


Vélos en libre-service : de nouvelles indications dans 10 villes


De plus en plus de gens choisissent le vélo : ils en achètent des neufs, réparent des modèles usagés ou utilisent ceux offerts en libre-service. En effet, le mois dernier, la recherche « réparation de vélos près de chez moi » a été effectuée plus de deux fois plus souvent que l’an dernier et a atteint un niveau record partout dans le monde. 


Les utilisateurs de vélos en libre-service auront bientôt accès à des informations plus détaillées qu’avant. Au cours des dernières années, nous avons mis en place le repérage des vélos et des scooters sans borne d’ancrage en collaboration avec Lime dans plus d’une centaine de villes. Nous avons également lancé un service d’information en temps réel pour aider les voyageurs à localiser les bornes d’ancrage des vélos en libre-service dans certaines villes et à en connaître la disponibilité en temps réel. Les fournisseurs de vélos en libre-service ayant constaté une forte augmentation de l’utilisation pendant la pandémie de COVID-19, il est encore plus important de vérifier rapidement et facilement le nombre de vélos disponibles à la station où vous allez et s’il y a des bornes près de votre destination pour y déposer votre vélo. 


À partir d’aujourd’hui, si vous cherchez comment vous rendre à destination en bicyclette, vous verrez des indications de bout en bout qui comprennent des informations sur les vélos en libre-service. Les étapes vous montreront clairement comment vous rendre à pied aux bornes les plus proches de votre point de départ en vous indiquant la disponibilité des vélos en temps réel. Vous verrez le trajet exact à suivre en vélo vers les bornes les plus proches de votre destination, y compris la disponibilité des bornes d’ancrage. Enfin, vous pourrez consulter le trajet à faire à pied jusqu’à votre destination finale. Pour certaines villes, Google Maps vous indiquera également le lien vers l’application de partage de vélos pertinente pour vous permettre de réserver et de déverrouiller votre bicyclette.


Au cours des prochaines semaines, Google Maps vous offrira des itinéraires de vélos en libre-service dans ces 10 villes, grâce à son partenariat avec Ito World et ses partenaires de partout dans le monde. Nous travaillons également activement avec d’autres partenaires afin d’offrir cette fonctionnalité à un plus grand nombre de villes dans les mois à venir. 

  • Chicago, États-Unis (Divvy/Lyft)

  • New York, États-Unis (Citi Bike/Lyft)

  • Région de la baie de San Francisco, États-Unis (Bay Wheels/Lyft)

  • Washington, États-Unis (Capital Bikeshare/Lyft)

  • Londres, Angleterre (Santander Cycles/TfL)

  • Mexico, Mexique (Ecobici)

  • Montréal, Canada (BIXI/Lyft)

  • Rio de Janeiro, Brésil (Bike Itau)

  • São Paulo, Brésil (Bike Itau)

  • Taipei et Nouveau Taipei, Taïwan (Youbike)


Comme pour tout autre mode de transport, la propreté et la sécurité sont au premier plan en ce moment. Tous nos partenaires de vélos en libre-service ont pris des mesures pour accroître leurs protocoles de nettoyage pendant la pandémie de COVID-19. Veuillez communiquer avec le fournisseur de votre ville pour connaître ses dernières mesures de sécurité. Et comme d’habitude, nous vous invitons à suivre les directives locales en matière de santé et de sécurité, quel que soit votre mode de déplacement. 


Publié par Vishal Dutta, chef de produit, Google Maps

C’est l’été dans bien des régions du monde et les gens sont plus nombreux à chercher un moyen sécuritaire d’effectuer leurs déplacements. Résultat? Ils enfourchent leur vélo. Depuis février, les demandes d’itinéraires à vélo dans Google Maps ont augmenté de 69 % et ont atteint un nombre record ce mois-ci. Que les gens pédalent pour faire de l’exercice ou pour se déplacer en toute sécurité pendant la pandémie de COVID-19, sur leur propre bicyclette ou dans le cadre d’un service de vélo-partage, nous facilitons leurs déplacements dans le monde entier.

 

Il y a 10 ans, nous avons lancé les itinéraires à vélo dans Google Maps. Ce service est maintenant disponible dans une trentaine de pays et utilisé par des millions de personnes chaque jour. Les habitudes de cyclisme changent, surtout avec l’évolution de la COVID-19. C’est pourquoi nous mettons constamment l’information à jour pour vous aider à trouver l’itinéraire le plus fiable.


Faire passer les déplacements à vélo à un autre niveau


Pour vous proposer les itinéraires les plus à jour, nous combinons l’apprentissage machine, des algorithmes complexes et notre compréhension des conditions du monde réel fondée sur des images et des données fournies par les autorités gouvernementales et la communauté. Nous tenons également compte des surfaces et des obstacles sur les voies cyclables et dans les rues avoisinantes qui pourraient rendre votre trajet moins agréable (comme les tunnels, les escaliers et le mauvais état de la chaussée). Vous pouvez ainsi emprunter l’itinéraire le plus fluide. Vous pouvez aussi voir si votre trajet s’annonce plutôt plat ou en pente raide. Vous saurez ainsi si une petite balade vous attend ou si vous partez pour une véritable séance d’exercice. 


Le choix du meilleur itinéraire peut toujours changer. C’est pourquoi nous nous efforçons de tenir compte des nouvelles informations. Par exemple, en raison de la COVID-19, de nombreuses villes ajoutent et élargissent des pistes cyclables pour encourager les déplacements en vélo et permettre à davantage de cyclistes de circuler. Dans les mois à venir, nous intégrerons des centaines de milliers de nouvelles pistes cyclables à Google Maps. Les agences gouvernementales locales peuvent fournir ces données par l’intermédiaire de notre outil de téléversement de données géographiques pour que leurs dernières informations sur les pistes cyclables soient accessibles. 


Vélos en libre-service : de nouvelles indications dans 10 villes


De plus en plus de gens choisissent le vélo : ils en achètent des neufs, réparent des modèles usagés ou utilisent ceux offerts en libre-service. En effet, le mois dernier, la recherche « réparation de vélos près de chez moi » a été effectuée plus de deux fois plus souvent que l’an dernier et a atteint un niveau record partout dans le monde. 


Les utilisateurs de vélos en libre-service auront bientôt accès à des informations plus détaillées qu’avant. Au cours des dernières années, nous avons mis en place le repérage des vélos et des scooters sans borne d’ancrage en collaboration avec Lime dans plus d’une centaine de villes. Nous avons également lancé un service d’information en temps réel pour aider les voyageurs à localiser les bornes d’ancrage des vélos en libre-service dans certaines villes et à en connaître la disponibilité en temps réel. Les fournisseurs de vélos en libre-service ayant constaté une forte augmentation de l’utilisation pendant la pandémie de COVID-19, il est encore plus important de vérifier rapidement et facilement le nombre de vélos disponibles à la station où vous allez et s’il y a des bornes près de votre destination pour y déposer votre vélo. 


À partir d’aujourd’hui, si vous cherchez comment vous rendre à destination en bicyclette, vous verrez des indications de bout en bout qui comprennent des informations sur les vélos en libre-service. Les étapes vous montreront clairement comment vous rendre à pied aux bornes les plus proches de votre point de départ en vous indiquant la disponibilité des vélos en temps réel. Vous verrez le trajet exact à suivre en vélo vers les bornes les plus proches de votre destination, y compris la disponibilité des bornes d’ancrage. Enfin, vous pourrez consulter le trajet à faire à pied jusqu’à votre destination finale. Pour certaines villes, Google Maps vous indiquera également le lien vers l’application de partage de vélos pertinente pour vous permettre de réserver et de déverrouiller votre bicyclette.


Au cours des prochaines semaines, Google Maps vous offrira des itinéraires de vélos en libre-service dans ces 10 villes, grâce à son partenariat avec Ito World et ses partenaires de partout dans le monde. Nous travaillons également activement avec d’autres partenaires afin d’offrir cette fonctionnalité à un plus grand nombre de villes dans les mois à venir. 

  • Chicago, États-Unis (Divvy/Lyft)

  • New York, États-Unis (Citi Bike/Lyft)

  • Région de la baie de San Francisco, États-Unis (Bay Wheels/Lyft)

  • Washington, États-Unis (Capital Bikeshare/Lyft)

  • Londres, Angleterre (Santander Cycles/TfL)

  • Mexico, Mexique (Ecobici)

  • Montréal, Canada (BIXI/Lyft)

  • Rio de Janeiro, Brésil (Bike Itau)

  • São Paulo, Brésil (Bike Itau)

  • Taipei et Nouveau Taipei, Taïwan (Youbike)


Comme pour tout autre mode de transport, la propreté et la sécurité sont au premier plan en ce moment. Tous nos partenaires de vélos en libre-service ont pris des mesures pour accroître leurs protocoles de nettoyage pendant la pandémie de COVID-19. Veuillez communiquer avec le fournisseur de votre ville pour connaître ses dernières mesures de sécurité. Et comme d’habitude, nous vous invitons à suivre les directives locales en matière de santé et de sécurité, quel que soit votre mode de déplacement. 


Publié par Vishal Dutta, chef de produit, Google Maps

En octobre, nous avons lancé les tout nouveaux Google Pixel Buds à la conception discrète et dont le son est d’une qualité exceptionnelle. Ils s’insèrent dans l’oreille de façon sécuritaire et confortable, et comportent des fonctionnalités d’IA. Nous voulions vous offrir la meilleure expérience audio possible que vous soyez entrain de diffuser du contenu pendant votre entraînement ou assis dans une salle bruyante pendant une visioconférence. Aujourd’hui, les ...


En octobre, nous avons lancé les tout nouveaux Google Pixel Buds à la conception discrète et dont le son est d’une qualité exceptionnelle. Ils s’insèrent dans l’oreille de façon sécuritaire et confortable, et comportent des fonctionnalités d’IA. Nous voulions vous offrir la meilleure expérience audio possible que vous soyez entrain de diffuser du contenu pendant votre entraînement ou assis dans une salle bruyante pendant une visioconférence. Aujourd’hui, les Pixel Buds sont offerts au Canada à 239 $ en franchement blanc.

Nous avons rencontré des membres de l’équipe responsable des Pixel Buds pour en apprendre davantage au sujet de ces nouvelles fonctionnalités et aussi pour savoir comment ils utilisent les Pixel Buds de leur côté.

Mise en route simple avec association rapide
« J’ai toujours eu l’habitude d’utiliser des écouteurs avec fil, car je m’inquiétais de la fiabilité de la connexion Bluetooth et que beaucoup d’autres écouteurs ont un problème d’association, y compris les Pixel Buds originaux. Avec les nouveaux, nous avons conçu l’association rapide pour éliminer ces irritants et faire en sorte qu’ils se connectent facilement à votre téléphone. »
-    Ethan Grabau, chef de produit



Appels clairs avec capteur et micros spéciaux
« Pour que vos appels soient clairs, même dans un environnement bruyant et venteux, les Pixel Buds combinent les signaux des micros à formation de faisceaux à un capteur spécial qui détecte les mouvements de votre mâchoire. Vous n’avez donc pas à chercher d’endroit plus calme pour répondre à un appel. Cela s’est avéré particulièrement pratique ces derniers temps étant donné le télétravail et la présence de mes deux filles en bas âge. »
-    Jae Lee, ingénieur systèmes audio

Son adaptatif pour une meilleure qualité audio
« Le son adaptatif est idéal lorsqu’on fait mousser le lait d’un latté dans sa cuisine ou bien qu’on se lave les mains ou qu’on fasse la vaisselle. Ces sons peuvent éclipser votre expérience audio quelques instants, jusqu’à ce que le latté soit prêt ou que la vaisselle soit terminée.

Le son adaptatif ajuste alors de manière temporaire et subtile votre volume pour s’adapter aux bruits de votre environnement, et il revient à la normal lorsque les bruits se sont dissipés. C’est un peu comme la luminosité automatique de l’écran de votre téléphone : elle s’ajuste momentanément à votre entourage pour faciliter l’expérience que vous avez avec votre appareil. »
-    Frank Li, ingénieur expérience utilisateur et Basheer Tome, concepteur principal d’interface matérielle

Aide mains libres avec l’Assistant Google
« Si je jardine et que je porte des gants, je peux utiliser la commande vocale ’Ok Google’ avec mes écouteurs Pixel Buds et contrôler facilement ma musique. Je peux aussi entendre mes notifications et répondre à un texto uniquement avec ma voix et l’aide de l’Assistant Google.

Et quand je promène mon chien chaque jour et que j’utilise les Pixel Buds, je me sers de l’Assistant Google pour mon itinéraire et je peux aussi vérifier mes progrès d’entraînement en ayant les mains libres puisque je tiens une laisse et un sac de gâteries pour chiens. Les Pixel Buds étant assez discrets, je peux même les porter sous un chapeau ou un capuchon. »
-    Max Ohlendorf, responsable de la technologie

Traductions en temps réel avec mode conversation
« Nous avons conçu le mode conversation pour régler une question simple : comment peut-on utiliser Google Translate sur les Pixel Buds pour éliminer les barrières linguistiques? Nous voulions que la conversation soit la plus naturelle possible même en utilisant un téléphone. Nous avons donc décidé de créer une interface utilisateur avec un écran partagé pour montrer exactement ce qui était dit et la traduction en temps réel. Lorsqu’on est exposé à une autre langue, c’est aussi l’occasion d’apprendre. Voilà pourquoi nous voulions que la fonctionnalité soit aussi utile que possible pour des situations comme voyager à l’étranger, mais aussi simple que le fait d’aider les gens bilingues de foyers intergénérationnels à se comprendre. »
-    Tricia Fu, chef de projet adjointe

Tranquillité d’esprit avec la fonction Trouver mon appareil
« La crainte de perdre des écouteurs sans fil qui coûtent chers est véritable, et dans plusieurs cas, c’est la raison pour laquelle les gens hésitent à essayer ce type d’écouteurs. Nous avons tenté de dissiper cette crainte avec la fonction Trouver mon appareil. Si vous perdez un écouteur pendant que vous faites une promenade ou de la course à pied, vous le savez immédiatement. Mais vous en êtes moins conscient lors de votre retour à la maison et que vous mettez vos écouteurs à un endroit inhabituel. Nous avons bien réfléchi afin de simplifier l’expérience et nous avons donc intégré la capacité de faire sonner vos écouteurs à partir de votre téléphone. Vous pouvez repérer un écouteur à la fois pour tenter de trouver le gauche ou le droit. Dès que vous touchez l’écouteur perdu, la sonnerie s’arrête. Nous espérons que les gens n’auront pas à se servir de cette fonction trop souvent. Mais, si c’est le cas, nous souhaitons qu’il soit plus facile pour eux de trouver leurs écouteurs. »
-    Alex Yee, concepteur interaction



Comme les téléphones Pixel et les autres appareils Google, les écouteurs Pixel Buds s’amélioreront avec le temps grâce à de nouvelles fonctionnalités, notamment une mise à jour de la fonction Trouver mes écouteurs qui indiquera le dernier endroit connu où ils se trouvent.

Les Pixel Buds sont en vente sur le Google Store et chez les détaillants dont Best Buy, Staples, WIRELESS WAVE, Tbooth wireless et TELUS. D’autres couleurs seront offertes le mois prochain: presque noir et menthe. 

Editor's note: This blog post was originally published on The Keyword.  ...
Editor's note: This blog post was originally published on The Keyword. 

In this post, we explain how Google's advertising activities work when advertisers and publishers choose to use our buying and selling services. In a separate post, we're also looking at how major news publishers are leveraging their content using Google Ad Manager

Over the years, we have continued to invest in our advertising technologies to offer products that make it easier for publishers and advertisers to buy and sell graphic advertising online. Our products have helped grow the digital advertising market and keep the Internet open and free for everyone. 


In the advertising technology sector, thousands of companies are collaborating to deliver digital advertising on the web. Here is an overview of how graphic advertising works and the daily flow of ads between buyers and sellers. 



Recently, some have estimated that digital technology providers retain up to half of the revenue from graphic advertising. We can't speak for other companies in the industry , but as far as Google is concerned, that's not the case. 


Even when our sales and purchasing services are in peak periods, publishers receive the largest share of revenues. In fact, when marketers used Google Ads or Display & Video 360 in 2019 to buy display ads in Google Ad Manager, publishers retained more than 69 percent of the revenue generated. And when publishers used the Ad Manager platform to sell advertising directly to advertisers, they kept an even bigger share of the revenue.

 
Most of the revenue from our graphic advertising products is used to cover the costs of operating a complex, ever-changing business. Among other things, these revenues help build and maintain cutting-edge data centers, invest in cutting-edge computer research to target the most useful and relevant ads, and introduce innovations that increase publishers' revenues, provide advertisers with a maximum return on invested capital and maintain free and free internet access. 


To illustrate how our ad technology solutions work, here are two of the most common ways advertisers use to buy ads through our services.



Display Ads Purchased Using Google Ads 

Millions of advertisers (including many small and emerging businesses) use Google Ads every day to buy ads on our search engines, YouTube ads, and display ads on sites and non-Google apps. They use this platform because it makes the process of buying digital advertising simpler and more efficient. The vast majority of advertisers who purchase display advertising using Google Ads pay Google only when a user performs an action after seeing their ad (eg, when they click on the ad, fill out a form, or make a purchase). However, Google still pays publishers for the advertising space they sell through Ad Manager.To facilitate this dynamic, our technology evaluates each impression and converts advertisers' business objectives into cost-per-mile auctions for the purchase of publisher's advertising inventory. By taking the risk of showing ads to users, regardless of whether they take the action desired by the advertiser, Google Ads provides buyers and sellers with effective and appropriate ways to pay and earn income. 


In 2019, publishers who used Ad Manager retained more than 69 percent of the total amount advertisers paid to purchase their ad inventory using Google Ads. With Google Ads, there are no fixed charges per impression, since the platform does not charge advertisers for most impressions. Rather, Google's revenue share varies over time based on a variety of factors, such as advertiser goals, the types of display ads advertisers choose to serve, and user feedback. 




Display Ads Purchased Using Display & Video 360 

Google also helps big brands and their agencies execute complex graphic advertising strategies and campaigns. These advertisers often use our Display & Video 360 business software to reach global customers. 


Most advertisers who choose this platform buy digital ads in different formats and across a large number of assets (far more than the publisher’s websites and apps that use Ad Manager). Thanks to Display & Video 360, these advertisers can buy advertisements from more than 80 publishers or sales platforms (AT&T, Comcast, Index Exchange, OpenX, Rubicon Project, MoPub, etc.). Our standard rate for advertisers who use Display & Video 360 to purchase display ads is 15 percent. 


Many publishers choose multiple platforms to sell their programmatic advertising inventory to advertisers. When an advertiser uses Display & Video 360 to purchase advertising inventory from a publisher who uses Ad Manager, the publisher retains more than 69 percent of the total amount paid by the advertiser. 



We invest in our systems to keep the Web open to everyone 

We ignore the rates in effect in other companies in our sector, but we want to make ours public in order to make our advertising management activities transparent. By helping businesses, large and small, to reach their customers, we can help publishers finance their online content and contribute to the sustainability of web advertising revenues worldwide. 


* The figures included in this post show the fees charged by Google and not those paid to other platforms and services. Amounts are not established in accordance with generally accepted accounting principles in effect in the United States. 
  

Editor's note: This blog post was originally published on The Keyword. In this post, we take a look at how the major news publishers are making money from their content using Google Ad Manager and how much they earn. In a separate post, we explain how Google’s advertising activities work when advertisers and publishers choose to use our buy and sell services.  ...
Editor's note: This blog post was originally published on The Keyword. In this post, we take a look at how the major news publishers are making money from their content using Google Ad Manager and how much they earn. In a separate post, we explain how Google’s advertising activities work when advertisers and publishers choose to use our buy and sell services. 


Thousands of news publishers around the world are using Google Ad Manager to deliver digital ads to their websites and apps. Press companies choose our advertising management platform for its performance, the controls it allows to exercise and its compatibility with hundreds of third-party advertising tools. Thus, these companies maximize the income from the sale of their advertising space. 


We are working hard to ensure that our platform contributes to the success of publishers, so that the world has access to high-quality online information. To illustrate how news publishers use our platform to make their content profitable, we recently looked at the 100 news publishers with the highest programmatic advertising revenue in Ad Manager. We have analyzed the average fees collected by Ad Manager for all of these publishers' digital advertising activities. 


Although each news organization has its own business model, these data provide a true picture of the means employed by the main news publishers to make their content profitable using Ad Manager and the amount of fees collected by Google. in exchange for his services. Most of these revenues are used to finance the operation of our advertising management services. Our continuous investments in this field allow, among other things, to build and maintain data centers around the world as well as to foster breakthroughs in machine learning and innovations allowing publishers to increase their revenues and ensure the free access and free internet. 


En analysant les données sur les revenus des 100 principaux éditeurs d’actualités, nous avons pu établir que ces organismes conservent en moyenne 95 pour cent des revenus de publicité numérique que génère la diffusion d’annonces sur leurs sites Web au moyen d’Ad Manager. Ces résultats correspondent aux frais moyens perçus par Ad Manager et excluent les frais payés à d’autres plateformes et fournisseurs de services. 



Note de bas de page accompagnant le graphique : Ces résultats correspondent aux frais moyens perçus par Ad Manager et excluent les frais payés à d’autres plateformes et fournisseurs de services. Les chiffres présentés résultent de l’analyse des données des 100 principaux éditeurs d’actualités à l’échelle mondiale ayant présenté les revenus de publicité programmatique les plus élevés dans Ad Manager entre le 1er et le 29 février 2020. Les revenus tirés de la vente directe et d’autres plateformes sont estimés en fonction des données saisies dans Ad Manager. Les montants présentés ne sont pas établis conformément aux principes comptables généralement reconnus en vigueur aux États-Unis. 


Les éditeurs d’actualités utilisent Ad Manager pour faciliter les ventes directes et les ententes avec d’autres plateformes 

Les activités publicitaires numériques des éditeurs comportent deux volets : les ventes à gestion directe (y compris les ventes directes aux annonceurs et les ententes avec d’autres plateformes de technologie publicitaire) et les ventes de publicité programmatique avec Ad Manager. 


Les éditeurs tirent la majeure partie de leurs revenus de publicité numérique de la vente d’annonces gérée à l’interne par leurs propres équipes (y compris les ventes directes aux agences et aux annonceurs). Par exemple, les éditeurs d’actualités vendent de l’espace publicitaire directement aux annonceurs, qui souhaitent que leur publicité figure à des endroits précis du site Web (comme en haut de la page d’accueil). Les équipes de vente des éditeurs négocient également des ententes avec d’autres plateformes (plateformes d’échanges publicitaires, réseaux publicitaires, enchères d’en-tête publicitaire, etc.). 


Lorsque les éditeurs d’actualités vendent des stocks publicitaires directement ou par l’intermédiaire d’autres plateformes, ils peuvent utiliser notre technologie dans Ad Manager pour diffuser la publicité sur leur site Web. Puisque, dans ces cas, l’éditeur effectue le gros du travail, nous ne lui facturons que des frais minimaux pour le service que nous lui fournissons. Lorsqu’ils vendent de la publicité de cette façon, les éditeurs d’actualités conservent jusqu’à 99 pour cent des revenus générés. 


Les éditeurs d’actualités vendent aussi de la publicité programmatique grâce à Ad Manager 

Ad Manager aide également les éditeurs d’actualités en leur permettant de vendre de la publicité programmatique. Grâce à cette technologie, les éditeurs peuvent vendre plus d’espace publicitaire à des millions d’annonceurs auxquels ils n’auraient pas accès autrement. 


Lorsqu’un éditeur d’actualités vend de la publicité programmatique à l’aide d’Ad Manager, il bénéficie d’outils robustes pour gérer les annonces diffusées sur son site Web. Par exemple, l’éditeur peut établir un prix minimum pour son espace publicitaire, déterminer les marques qui peuvent y annoncer et indiquer les types d’annonces qu’il souhaite diffuser, entre autres préférences. Ensuite, Ad Manager trouve l’annonceur le plus offrant qui répond aux critères de l’éditeur. Lorsqu’une publicité est diffusée par programmation à l’aide d’Ad Manager, les éditeurs d’actualités conservent 80 pour cent des revenus générés. 


Nous investissons dans Ad Manager afin d’appuyer nos partenaires médiatiques 

Google Ad Manager est le fruit de notre volonté d’aider les éditeurs à rentabiliser leur contenu et à accroître leurs revenus. Au fil des ans, nous avons investi dans les innovations qui améliorent notre technologie, afin que les sociétés de presse puissent augmenter leurs revenus de publicité numérique et ainsi assurer leur pérennité. En plus de veiller à l’amélioration de nos produits, notre équipe dévouée travaille de concert avec les éditeurs de toutes tailles et les aide à trouver de nouvelles façons de mettre la publicité au service de leur entreprise. Ainsi, nous nous assurons que le meilleur d’Internet demeure ouvert et gratuit pour tous. 


* The analysis results included in this post correspond to the average fees received by Ad Manager and exclude fees paid to other platforms and service providers. The amounts presented are not established in accordance with generally accepted accounting principles in force in the United States.