Note de l'éditeur : Ce billet de blogue a été écrit par Stephanie Scott, directrice exécutive du Centre national pour la vérité et la réconciliation (NCTR), et Monika Ille, directrice générale d'APTN ...
Note de l'éditeur : Ce billet de blogue a été écrit par Stephanie Scott, directrice exécutive du Centre national pour la vérité et la réconciliation (NCTR), et Monika Ille, directrice générale d'APTN

À l'occasion de la toute première Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, nous invitons tous les Canadiens à honorer les survivants des pensionnats et à réfléchir à l'impact durable du système des pensionnats sur les peuples autochtones. Depuis 2013, le 30 septembre est connu sous le nom de Journée du chandail orange, en reconnaissance des méfaits et des tragédies engendrés par le système des pensionnats. En juin 2021, le gouvernement fédéral a adopté une loi pour faire du 30 septembre la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation. Lisez la suite pour en savoir plus sur les origines de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, comment vous pouvez observer la journée et quelle programmation spéciale l’APTN et le Centre national pour la vérité et la réconciliation (NCTR) partageront dans le cadre de l’inauguration de ce jour férié. 

Qu'est-ce que la Journée du chandail orange ? 
Depuis 2013, le 30 septembre est reconnu comme la Journée du chandail orange. Ce mouvement annuel ouvre la porte à une conversation mondiale sur les pensionnats au Canada. 

Phyllis Webstad a raconté son premier jour à l'école résidentielle St. Joseph Mission à l'âge de six ans. Webstad a décrit comment tous ses vêtements lui ont été retirés à son arrivée, y compris le chandail orange que sa grand-mère lui avait récemment offert. Aujourd'hui, le chandail orange représente la dépossession culturelle dont ont été victimes les enfants autochtones forcés de fréquenter les pensionnats. À la lumière de la découverte de plus de 1 300 tombes anonymes sur le terrain des anciens pensionnats cette année, c'est une journée pour réfléchir au tragique héritage laissé par ces écoles. 

Qu'est-ce que la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation ? 
Le 30 septembre marque la première Journée nationale de la vérité et de la réconciliation. Dans le cadre de l'engagement du gouvernement canadien en faveur de la réconciliation, une loi a été adoptée pour faire de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation un jour férié fédéral. Ce n'est pas n'importe quelle jour férié, mais une journée pour se concentrer sur le travail à accomplir en vue de la réconciliation et pour honorer les peuples autochtones. La Journée nationale de la vérité et de la réconciliation répond à l'appel à l'action 80 de la Commission de vérité et réconciliation (CVR). Les appels à l'action de la Commission de vérité et réconciliation ne sont pas politiques. Au contraire, ils ont été élaborés pour que tous les Canadiens puissent marcher ensemble sur un chemin commun vers la réconciliation. 

En tant que jour férié fédéral, la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation s'applique aux employés du secteur public fédéral, aux lieux de travail du secteur privé sous réglementation fédérale et à la plupart des sociétés d'État fédérales. La Colombie-Britannique, le Manitoba, la Nouvelle-Écosse, l'Île-du-Prince-Édouard, Terre-Neuve-et-Labrador, le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest ont également reconnu le 30 septembre comme jour férié. 

La Journée nationale de la vérité et de la réconciliation fait également partie de la Semaine de la vérité et réconciliation, une semaine de programmation éducative animée par le Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR). Le CNVR tire son mandat des appels à l'action de la CVR et est un lieu de dialogue et d'apprentissage, où les vérités sur les pensionnats seront honorées et protégées, pour qu’en bénéficient les générations futures. Le mandat du CNVR est de jeter les bases de la réconciliation en passant par l'éducation du public sur le système des pensionnats et le long héritage de colonialisme et de violence du Canada. 

Comment puis-je observer la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation ? 
Il y a plusieurs façons de participer à cette journée de souvenir et de réconciliation. Les alliés sont encouragés à porter un chandail orange en solidarité avec les communautés autochtones, mais cela ne suffit pas. 

Voici quelques autres actions significatives que vous pouvez prendre aujourd'hui et à l'avenir : 
La Journée nationale de la vérité et de la réconciliation est une journée d'action, de commémoration, de réflexion et d'apprentissage sur l'histoire coloniale des terres sur lesquelles nous vivons. Nous avons tous un rôle à jouer dans la réconciliation. 

Veuillez prendre un moment pour honorer les survivants et les communautés qui ont si courageusement partagé leurs histoires. Observez une minute de silence, sortez une petite paire de chaussures ou allumez une bougie pour les enfants qui ne sont jamais rentrés à la maison. Ce qui compte, c'est que vous le fassiez avec intention.


L’une des choses que j’admire le plus chez les créateurs est leur incroyable éventail de talents et de compétences. Ils sont à la fois des conteurs, des réalisateurs, des monteurs, des spécialistes du marketing et des entrepreneurs. Pour donner aux créateurs les opportunités qu’ils ont besoin pour réussir, YouTube est devenu bien plus qu’une simple plateforme où les gens téléchargent et partagent des vidéos. C’est désormais un lieu où les créateurs trouvent de nouveaux publics, tissent des liens de différentes manières avec les gens qui aiment leur travail et développent des entreprises en pleine croissance. 

Nous avons établies les bases de cette économie moderne des créateurs il y a plus de 14 ans lorsque nous avons lancé le Programme Partenaire YouTube. Selon ce modèle commercial unique en son genre, la majorité des revenus générés sur la plateforme est partagée avec les créateurs. Nous avons récemment franchi une nouvelle étape avec plus de 2 millions de créateurs dans le monde qui font désormais partie de notre programme de monétisation. Au cours des trois dernières années, nous avons versé plus de 30 milliards de dollars US aux créateurs, artistes et sociétés de médias. Et au deuxième trimestre 2021, nous avons versé plus aux créateurs et aux partenaires de YouTube qu'au cours de n'importe quel trimestre de notre histoire. 

Ici, au Canada, les créateurs continuent de prospérer sur la plateforme, le nombre de chaînes YouTube canadiennes réalisant des revenus à six chiffres ou plus, ont augmenté de 30 % d'année en année (déc. 2020 vs. déc 2019). Nous continuerons à travailler avec les créateurs au Canada et dans le monde entier pour soutenir cette trajectoire ascendante. 

Nous investissons dans de nouvelles formules de monétisation pour les créateurs. Ces options vont bien au-delà de la publicité et comprennent les biens numériques payants, les marchandises, le contenu de marque et bien plus encore. Nous partageons un objectif avec les créateurs, nous cherchons à les aider à mettre en place des modèles d’affaires solides et diversifiés qui fonctionnent à la fois avec leur contenu unique et leur communauté de fans.

Jeff Thorman, un contracteur général provenant d’ottawa et avec plus de 25 ans d’expérience a créé sa chaîne Youtube, Home RenoVision DIY pour partager ses connaissances et aider les propriétaires à acquérir de nouvelles compétences. Jeff a élargi son modèle d'affaires pour inclure la fonction “abonnement” à sa chaîne, qui offre un contenu exclusif et des avantages supplémentaires aux membres qui paient un abonnement mensuel. En plus des abonnements à la chaîne, Jeff tire également des revenus des publicités, des commandites de marques et des revenus par affiliation, depuis déjà deux ans et se concentre sur sa chaîne YouTube à temps plein. 

Sur YouTube, il y a des milliers de créateurs qui sont devenus des entrepreneurs comme Jeff, issus de tous les horizons, et qui utilisent la plateforme pour transformer leurs carrières traditionnelles, leurs loisirs et leurs passions en une entreprise durable et lucrative. 

Aujourd'hui, nous lançons le Shorts Fund au Canada, qui s'ajoute à notre liste croissante de possibilités pour les artistes et les créateurs de gagner de l'argent et de créer une entreprise sur YouTube. Les créateurs canadiens ont été les premiers à adopter Shorts Fund, comme le percussionniste canadien primé, Joe Porter, qui a gagné plus de 875 000 abonnés et accumulé plus de 250 millions de vues depuis qu'il a commencé à télécharger du contenu Shorts. 

Les créateurs et les artistes disposent donc maintenant de 10 façons de gagner de l’argent et de faire croître leur entreprise sur YouTube. Voici comment : 

Le fonds YouTube Shorts, doté d’une somme de 100 millions de dollars qui sera distribuée en 2021 et 2022, accessible aux créateurs Canadiens. Chaque mois, nous communiquerons avec des milliers de créateurs à travers le monde admissibles pour leur indiquer qu’ils ont droit à un montant du fonds YouTube Shorts – les créateurs peuvent réaliser des gains de 100 $ à 10 000 $ en fonction de l’auditoire de leurs Shorts et de l’engagement envers leurs Shorts. Le fonds YouTube Shorts est la première étape de notre démarche visant à créer un modèle de monétisation pour les Shorts sur YouTube. Les créateurs du Programme Partenaire YouTube ne sont pas les seuls à pouvoir en profiter : tout créateur qui répond aux critères d’admissibilité peut bénéficier du fonds. Découvrez tous les détails ici

Nous fournissons aussi du financement au moyen du Fonds Black Voices et du Fonds YouTube Kids.

2. Annonces 
La publicité est au cœur des sources de revenus des créateurs et demeure leur principal moyen de générer des gains sur YouTube. Les créateurs reçoivent la majorité des revenus générés par les annonces sur YouTube. 

YouTube Premium est une option d’abonnement payant qui permet aux membres de profiter d’un contenu sans publicité, de la diffusion en arrière-plan, du téléchargement de contenu et d’un accès rehaussé à l’application YouTube Music. La majorité des revenus des abonnements est versée aux partenaires YouTube. 

Avec les abonnements aux chaînes, les créateurs peuvent offrir des avantages et du contenu exclusif aux personnes qui optent pour un abonnement mensuel au prix fixé par le créateur. 

La section de marchandisage permet aux chaînes de présenter des produits de marque officiels sur leur page YouTube. Les créateurs peuvent choisir parmi 30 détaillants différents dans le monde.

Les personnes qui regardent les diffusions en direct et les diffusions de Premières peuvent acheter un Super Chat, soit un message mis en évidence dans le flux de discussion. Ce message se démarque des autres leur permet d’attirer davantage l’attention de leur créateur préféré.

Désormais, il est possible de remercier les créateurs pour les vidéos mises en ligne grâce à la fonctionnalité Super Merci. De plus, les commentaires des fans sont colorés et mis en évidence, et les créateurs peuvent y répondre.

Les personnes qui regardent les diffusions en direct et les Premières peuvent aussi montrer leur soutien en achetant des Super Stickers, des autocollants amusants qui se démarquent des autres. 

Les amateurs de musique peuvent se renseigner sur les prochains concerts et, d’un simple clic, accéder directement aux sites de nos partenaires de billetterie pour acheter des billets. 

Grâce à YouTube BrandConnect (anciennement connu sous le nom de FameBit), nous aidons les créateurs et les marques à créer plus facilement du contenu de marque à la fois authentique et efficace. BrandConnect met à la disposition du milieu du marketing d’influence des renseignements clés, des outils de mesure et de l’expertise dans l’industrie– ce service met en relation les marques, les créateurs et les fans.

Nous continuons à mettre au point de nouvelles façons de permettre aux créateurs de faire évoluer leur entreprise. En effet, leur réussite et la nôtre vont de pair. L’équipe de YouTube célèbre chaque nouvelle étape franchie et chaque objectif atteint en partageant avec les autres. Les créateurs sont à la tête de la prochaine génération d’entreprises médiatiques, c’est pourquoi nous continuerons à les aider en leur proposant de nouvelles façons de réaliser leur mission. 

Andrew Peterson, responsable des partenariats de contenu, YouTube

Lorsque les recommandations de YouTube fonctionnent bien, elles relient des milliards de personnes dans le monde à des contenus qui les inspirent, leur enseignent des choses et les divertissent. Pour ma part, elles me permettent de me plonger dans des conférences sur l’éthique des technologies actuelles et de regarder les faits saillants des matchs de football de l’Université de Californie du Sud que je me souviens d’avoir vus quand j’étais enfant. Pour ma fille aînée, c’était les éclats de rire et le sentiment de communauté avec les ...
Lorsque les recommandations de YouTube fonctionnent bien, elles relient des milliards de personnes dans le monde à des contenus qui les inspirent, leur enseignent des choses et les divertissent. Pour ma part, elles me permettent de me plonger dans des conférences sur l’éthique des technologies actuelles et de regarder les faits saillants des matchs de football de l’Université de Californie du Sud que je me souviens d’avoir vus quand j’étais enfant. Pour ma fille aînée, c’était les éclats de rire et le sentiment de communauté avec les Vlogbrothers. Les recommandations ont également amené mon fils aîné à mieux comprendre l’algèbre linéaire grâce aux explications animées de 3Blue1Brown – entrecoupées de pauses pour regarder des vidéos de KSI

Comme l’illustre ma famille, il y a un auditoire pour presque chaque vidéo et notre système de recommandation a pour tâche de le trouver. Imaginez-vous à quel point il serait difficile de s’y retrouver parmi tous les livres d’une immense bibliothèque sans l’aide des bibliothécaires. Les recommandations favorisent plus de la moitié des visionnements sur YouTube, même plus que les abonnements à des chaînes ou la recherche. J’ai consacré plus d’une dizaine d’années à bâtir le système de recommandation de YouTube et je suis fier de constater qu’il est devenu une partie intégrale de l’expérience YouTube de tout un chacun. Toutefois, les recommandations sont trop souvent perçues comme une mystérieuse boîte noire. Nous tenons à ce que le public comprenne ces systèmes. Permettez-moi donc de vous en expliquer le fonctionnement, leur façon d’évoluer et les raisons pour lesquelles notre principale priorité consiste à offrir des recommandations responsables. 

En quoi consiste le système de recommandation? 

Notre système de recommandation part du simple principe de vouloir aider les gens à trouver des vidéos qui les intéressent et qui ont de la valeur pour eux. Vous pouvez voir les recommandations à l’œuvre principalement à deux endroits : sur votre page d’accueil et dans le volet « prochaine vidéo ». La page d’accueil, c’est ce que vous voyez en ouvrant YouTube. Elle affiche un amalgame de recommandations personnalisées, d’abonnements ainsi que l’information et les nouvelles les plus récentes. Le volet « prochaine vidéo » apparaît lorsque vous regardez une vidéo. Il vous suggère du contenu additionnel en fonction de ce que vous êtes en train de visionner ainsi que d’autres vidéos qui pourraient vous intéresser. 

En 2008, lorsque nous avons commencé à établir notre système de recommandation, l’expérience était complètement différente. Supposons que vous regardez surtout des vidéos de cuisine. Ne serait-il pas frustrant que votre page d’accueil ne vous recommande que les dernières vidéos de sport et de musique parce qu’ils génèrent le plus de visionnements? C’est ainsi que fonctionnait YouTube à ses débuts. Le système classait les vidéos selon leur popularité pour créer une grande page de « tendances ». Peu de gens regardaient ces vidéos et la plupart des visionnements YouTube provenaient de recherches ou de liens partagés en dehors de la plateforme. 

Aujourd’hui, notre système fait le tri entre des milliards de vidéos pour vous recommander du contenu adapté à vos champs d’intérêt précis. Par exemple, notre système a reconnu que je regardais un fait saillant classique d’une partie de football de l’USC et il m’a trouvé d’autres grands moments sportifs de ma jeunesse. Sans les recommandations, je n’aurais jamais su que ces vidéos étaient accessibles. Contrairement aux autres plateformes, nous ne relions pas les spectateurs à du contenu en passant par leur réseau social. Le succès des recommandations de YouTube repose plutôt sur la précision avec laquelle elles prévoient les vidéos que vous souhaitez regarder. 

Pour y arriver, nous partons du principe que chaque personne a des habitudes de visionnement uniques. Ensuite, notre système compare vos habitudes de visionnement avec celles qui sont semblables. Il emploie alors cette information pour suggérer d’autres contenus que vous pourriez avoir envie de regarder. Donc, si vous aimez les vidéos de tennis et que notre système remarque que ceux qui aiment les mêmes vidéos apprécient également les vidéos de jazz, il pourrait vous en recommander même si vous n’en avez jamais regardé (pour des catégories comme les nouvelles et l’information, cela peut fonctionner différemment, mais nous en parlerons plus tard). Il y a quelques années, notre système a recommandé des vidéos de Tyler Oakley à ma fille aînée parce que de nombreux amateurs des Vlogbrothers regardaient également ses vidéos à l’époque. Elle est devenue une de ses grandes admiratrices, à tel point qu’un peu plus tard, nous l’avons amenée à l’une de ses rencontres.


Bien sûr, nous sommes aussi conscients que ce n’est pas tout le monde qui souhaite toujours partager ces renseignements avec nous. C’est pourquoi nous avons établi des commandes qui vous permettent de décider quelles données vous voulez fournir. Vous pouvez mettre sur pause, modifier ou supprimer votre historique de recherche et de visionnement quand vous le voulez.
Personnalisation des recommandations 

Pour offrir une sélection de contenus aussi personnalisée, notre système de recommandation ne fonctionne pas à partir d’un « mode d’emploi ». Il évolue constamment et apprend chaque jour à partir de plus de 80 milliards d’éléments d’information que nous appelons des signaux. Assurer un maximum de transparence est donc plus complexe qu’il n’y paraît, car il ne suffit pas de fournir une simple liste de formules. Pour y arriver, il faut comprendre toutes les données qui alimentent notre système. Plusieurs signaux s’additionnent les uns aux autres pour informer notre système de ce que vous trouvez satisfaisant : clics, durée de visionnement, réponses aux sondages, partages, ce que vous aimez ou n’aimez pas. 

  • Clics : Si vous cliquez sur une vidéo, il y a de fortes chances que vous la trouverez également satisfaisante. Après tout, vous ne cliqueriez pas sur quelque chose que vous n’avez pas envie de regarder. 
Cependant, comme nous l’avons appris en 2011, ce n’est pas parce que vous cliquez sur une vidéo que vous la regardez nécessairement. Supposons que vous recherchiez les faits saillants d’un match à Wimbledon une certaine année. Vous faites défiler la page et cliquez sur l’une des vidéos dont l’image miniature et le titre suggèrent qu’elle montre une séquence du match, mais il s’agit plutôt d’une personne dans sa chambre qui parle du match. Vous cliquez ensuite sur une vidéo que notre système recommande dans le volet « prochaine vidéo », mais vous tombez encore une fois sur un amateur de tennis qui parle du match. Vous continuez ainsi à cliquer sur ces vidéos jusqu’à ce que le système vous en recommande enfin une qui contient une séquence du match que vous voulez voir. C’est pourquoi en 2012 nous avons ajouté la durée de visionnement à l’équation. 

  • Durée de visionnement : Votre durée de visionnement (les vidéos que vous regardez et pendant combien de temps) fournit à nos systèmes des signaux personnalisés à propos de ce que vous serez le plus susceptible de vouloir regarder. Donc si notre amateur de tennis a regardé 20 minutes de faits saillants de Wimbledon et seulement quelques secondes d’analyses de matchs, nous pouvons présumer avec assez de certitude qu’il préfère regarder ces faits saillants. 
Lorsque nous avons commencé à intégrer la durée de visionnement dans les recommandations, nous avons constaté une diminution immédiate de 20 % dans les visionnements. Mais nous avons jugé qu’il était plus important pour nous d’offrir plus de valeur aux utilisateurs. De plus, la durée de visionnement n’a pas toujours la même valeur. Parfois, je veille tard en regardant des vidéos au hasard, alors que j’aurais pu apprendre une nouvelle langue sur YouTube ou perfectionner mes talents en cuisine avec un créateur. Nous ne voulons pas que les utilisateurs regrettent le temps passé à regarder des vidéos et nous avons constaté que nous devions en faire encore plus pour évaluer la valeur que vous tirez du temps passé sur YouTube.






  • Réponses aux sondages : Pour nous assurer que les utilisateurs sont satisfaits du contenu qu’ils regardent, nous évaluons ce que nous appelons la « durée de visionnement utile ». Il s’agit du temps que vous avez passé à regarder une vidéo que vous jugez utile. Nous évaluons la durée de visionnement utile à l’aide de sondages auprès de l’utilisateur, qui doit coter la vidéo regardée en lui donnant d’une à cinq étoiles. Ainsi, nous obtenons une mesure pour déterminer à quel point vous êtes satisfait du contenu. Si vous donnez une ou deux étoiles à une vidéo, nous vous demandons pourquoi vous avez accordé une cote si faible. Et si vous lui donnez quatre ou cinq étoiles, nous vous demandons pourquoi elle était si inspirante ou significative. Seules les vidéos auxquelles vous avez accordé une cote élevée de quatre ou cinq étoiles sont comptabilisées dans la durée de visionnement utile. 
Évidemment, ce n’est pas tout le monde qui répond à un sondage pour chaque vidéo regardée. Selon les réponses que nous obtenons, nous avons formé un modèle d’apprentissage machine pour anticiper les réponses potentielles au sondage pour chaque personne. Pour tester la précision de ces prédictions, nous omettons intentionnellement certaines des réponses au sondage de l’entraînement de l’algorithme. Nous surveillons ainsi la précision de notre système par rapport aux réponses réelles. 

  • Partages, ce que vous aimez ou n’aimez pas : En général, les gens sont plus susceptibles d’être satisfaits des vidéos qu’ils partagent ou qu’ils aiment. Notre système se sert de cette information pour essayer de déterminer la probabilité que vous partagiez ou que vous aimiez d’autres vidéos. Si vous indiquez ne pas avoir aimé une vidéo, c’est un signal que vous n’avez sans doute pas eu de plaisir à la regarder. 
Mais comme pour vos recommandations, l’importance de chaque signal dépend de vous. Si vous êtes le genre de personne qui partage toutes les vidéos regardées, y compris celles auxquelles vous n’accordez qu’une ou deux étoiles, notre système apprendra à ne pas se fier trop étroitement à vos partages pour recommander du contenu. Tout cela nous aide à comprendre pourquoi notre système ne suit pas une formule établie. Il se développe plutôt de façon dynamique au fil de l’évolution de vos habitudes de visionnement. 

L’importance des recommandations responsables 

Les clics, les visionnements, la durée de visionnement, les sondages auprès des utilisateurs, les partages, ce que vous aimez ou n’aimez pas fonctionnent très bien pour orienter les recommandations portant sur des sujets comme la musique et le divertissement, qui attirent la plupart des utilisateurs de YouTube. Cependant, au fil des ans, un nombre croissant d’utilisateurs se sont tournés vers YouTube pour y trouver des nouvelles ou de l’information. La qualité de l’information et la mise en contexte sont alors essentielles, qu’il s’agisse de la nouvelle de l’heure ou de recherches scientifiques complexes. Quelqu’un peut se dire très satisfait de vidéos dans lesquelles on prétend que la Terre est plate, mais cela ne nous amènera pas nécessairement à recommander ce type de contenu de piètre qualité. 

C’est pourquoi les recommandations jouent un rôle si important dans notre façon d’entretenir une plateforme responsable. Elles mettent les utilisateurs en contact avec de l’information de grande qualité et réduisent la probabilité qu’ils tombent sur du contenu problématique. De plus, elles complètent le travail effectué par notre robuste Règlement de la communauté, qui définit ce qui est permis ou non sur YouTube. 

Depuis 2011, nous utilisons les recommandations pour éviter que le contenu de faible qualité ne soit diffusé à grande échelle. C’est à ce moment que nous avons mis en place des classificateurs pour détecter les vidéos osées ou violentes et empêcher leur recommandation. Ensuite, en 2015, nous avons remarqué que le contenu de tabloïds sensationnalistes apparaissait sur des pages d’accueil et nous avons pris des mesures pour le reléguer au second plan. Un an plus tard, nous avons commencé à prévoir la probabilité qu’une vidéo présente des mineurs dans des situations risquées afin de la supprimer des recommandations. En 2017, afin de nous assurer que notre système de recommandation soit équitable pour les communautés marginalisées, nous avons commencé à évaluer l’apprentissage machine sur lequel repose notre système pour qu’il soit équitable envers les groupes protégés, comme la communauté LGTBQ+. 

La croissance de la désinformation ces dernières années nous a amenés à développer notre système de recommandation de façon à ce qu’il puisse reconnaître la désinformation problématique et le contenu limite (c’est-à-dire qui frôle le non-respect du Règlement de la communauté, sans pour autant franchir la limite). Cette catégorie comprend les vidéos sur les théories conspirationnistes (« l’atterrissage sur la lune était un truquage ») ou d’autres contenus qui diffusent de la désinformation (« le jus d’orange peut guérir le cancer »). 

Nous y arrivons en employant des classificateurs pour déterminer si une vidéo est « digne de foi » ou « limite ». Ces classifications sont effectuées par des personnes qui évaluent la qualité de l’information dans chaque chaîne ou vidéo. Ces évaluateurs couvrent le monde entier et sont formés au moyen de lignes directrices accessibles au public. Nous faisons également appel à des experts certifiés, comme des médecins, lorsque le contenu concerne de l’information sur la santé.

Pour déterminer la fiabilité d’une vidéo, les évaluateurs répondent à quelques questions clés. Est-ce que le contenu tient sa promesse ou atteint son objectif? Quel est le type d’expertise nécessaire pour atteindre l’objectif de la vidéo? Quelle est la réputation de l’orateur dans la vidéo et quelle est celle de la chaîne qui la diffuse? Quel est le principal sujet de la vidéo (nouvelles, sports, histoire, science, etc.)? Le contenu se veut-il avant tout satirique? Ces réponses et d’autres permettent de déterminer à quel point la vidéo est digne de foi. En matière de nouvelles et de contenu informationnel, plus la note est élevée, plus nous ferons la promotion de la vidéo. Pour déterminer le contenu limite, les évaluateurs considèrent des facteurs qui visent entre autres à voir si le contenu est erroné, trompeur ou mensonger; insensible ou intolérant; et nuisible ou présentant une possibilité de nuire. Les résultats sont regroupés pour indiquer par une cote à quel point la vidéo contient de la désinformation nuisible ou limite. Toute vidéo classée comme limite est refoulée dans les recommandations. 

Ces évaluations humaines servent ensuite de modèles au système et sont ainsi appliquées à toutes les vidéos qui se retrouvent sur YouTube. 

Réponse à quelques questions courantes sur les recommandations 

Les recommandations jouent un rôle pivot dans notre communauté en présentant aux utilisateurs des contenus qui leur plaisent tout en aidant les créateurs à accéder à de nouveaux auditoires. Pour la société dans son ensemble, les recommandations peuvent aussi avoir leur importance en contribuant à bloquer la diffusion de désinformation nuisible. Les clics, la durée de visualisation, les sondages auprès des utilisateurs, les partages, ce que vous aimez et n’aimez pas demeurent des signaux importants qui alimentent notre système. Cependant, ils peuvent céder le pas à notre engagement de respecter notre responsabilité envers la communauté YouTube et la société. 

Il reste quelques questions que l’on me pose souvent à propos de notre système de recommandation et je pense qu’il est important d’y répondre : 

1. Est-ce que le contenu limite suscite davantage l’intérêt? 
À vrai dire, les sondages et les commentaires nous indiquent que la plupart des utilisateurs ne tiennent pas à ce que du contenu limite leur soit recommandé. Plusieurs le trouvent même troublant et rebutant. En fait, lorsque nous avons refoulé le contenu licencieux et de type tabloïd, nous avons constaté que la durée de visionnement avait augmenté de 0,5 % en deux mois et demi par rapport à la période où nous ne posions aucune limite. 

De plus, nous n’avons aucune preuve que le contenu limite est en moyenne plus attirant que les autres types de contenus. Prenons par exemple le contenu provenant des adeptes de la Terre plate. Même si les vidéos où l’on prétend que la Terre est plate sont beaucoup plus nombreuses que celles dans lesquelles on dit qu’elle est ronde, elles génèrent en moyenne beaucoup moins de visionnements. Les sondages indiquent que le contenu limite n’est satisfaisant que pour une très faible proportion des utilisateurs sur YouTube. Nous avons investi beaucoup de temps et d’argent pour nous assurer que notre système de recommandation ne lui permette pas de joindre un plus vaste auditoire. Actuellement, le contenu limite est surtout visionné à partir d’autres plateformes qui se connectent à YouTube. 

2. Est-ce que le contenu limite fait augmenter la durée de visionnement pour YouTube? 
La grande majorité des gens ne considèrent pas qu’ils ont passé du temps de qualité sur YouTube en visionnant du contenu limite. C’est pourquoi nous avons commencé en 2019 à refouler ce type de contenu dans nos recommandations. Depuis, nous avons constaté une baisse de 70 % dans la durée de visionnement du contenu limite recommandé sans abonnement aux États-Unis. Actuellement, la consommation de contenu limite provenant de nos recommandations est bien inférieure à 1 %. 

3. Est-ce que les recommandations orientent les utilisateurs vers du contenu de plus en plus extrême
Comme je l’ai expliqué, nous reléguons activement au second plan l’information de faible qualité dans les recommandations. D’un autre côté, nous prenons aussi de nouvelles mesures pour montrer aux utilisateurs des vidéos dignes de foi sur des sujets qui peuvent les intéresser. Disons que je regarde une vidéo à propos du vaccin contre la COVID-19. Dans mon volet « prochaine vidéo », je verrai des vidéos provenant de sources réputées comme Vox et Bloomberg Quicktake. Je ne verrai pas de vidéos contenant de l’information trompeuse sur les vaccins (dans la mesure où notre système peut les détecter). 

En plus de ces nouvelles sur la COVID-19 et de ces vidéos explicatives, j’obtiendrai également des recommandations personnalisées sur d’autres sujets en fonction de mon historique de visionnement (par exemple un sketch tiré de Saturday Night Live ou une conférence TEDx à propos de l’effet Super Mario). Cette diversité personnalisée permet aux utilisateurs d’accéder à de nouveaux sujets et formats au moyen d’un enchaînement du même type de vidéos. 

De plus en plus de chercheurs indépendants examinent l’incidence des plateformes techniques sur la consommation de contenu limite. Tandis que les recherches se poursuivent, des articles récemment publiés concluent que les recommandations YouTube n’orientent pas les utilisateurs vers du contenu extrême. La consommation de nouvelles et de contenu politique sur YouTube reflète plutôt les préférences personnelles qui peuvent être constatées dans leurs habitudes en ligne. 

4. Est-ce que le contenu limite rapporte des profits? 
Tout d’abord, nos consignes sur les contenus adaptés aux annonceurs interdisent déjà la monétisation de nombreux contenus limites. Plusieurs annonceurs nous ont dit qu’ils ne voulaient pas être associés à ce type de contenu sur YouTube et refusent souvent que leurs annonces l’accompagnent. Cela signifie que chaque vidéo limite regardée correspond à une occasion perdue de générer des revenus; ce qui entraîne une perte sèche pour YouTube. De même, ce type de contenu engendre la méfiance et suscite des inquiétudes non seulement chez les partenaires annonceurs, mais aussi dans le public, dans la presse et chez les décideurs politiques. En réalité, notre travail sur la responsabilité progresse, de même que notre entreprise et toute l’économie de la création. La responsabilité est bonne pour les affaires. 

En tenant compte de tout cela, pourquoi ne supprimons-nous pas le contenu limite tout simplement? La désinformation a tendance à bouger et à évoluer rapidement et, contrairement à des domaines comme le terrorisme ou la sécurité des enfants, elle ne fait pas toujours l’objet d’un consensus clair. De plus, elle peut varier en fonction des points de vue personnels ou du contexte. Nous sommes conscients que, parfois, cela nous porte à conserver du contenu controversé ou même choquant. Nous continuons donc à mettre fortement l’accent sur l’établissement de recommandations responsables et nous prenons de sérieuses mesures pour empêcher notre système de recommander ce contenu à grande échelle. 

Dans l’ensemble, tout notre travail sur la responsabilité en matière de recommandations a eu une incidence réelle. La durée de visionnement de nouvelles dignes de foi a grandement augmenté et celle du contenu limite a diminué. Cela ne veut pas dire que les problèmes sont résolus, mais plutôt que nous devons continuer à raffiner nos systèmes et à investir afin de poursuivre leur amélioration. Notre objectif consiste à ce que les visionnements de contenu limite suggérés par recommandation demeurent inférieurs à 0,5 % de tous les visionnements sur YouTube. 

La mission de YouTube consiste à donner une voix à chacun et à faire découvrir le monde. J’ai constaté au sein de ma propre famille des effets positifs considérables. Les vidéos qui donnent des exemples d’empathie et de tolérance ont eu une profonde influence sur le caractère de ma fille aînée. Mon fils a pu passer à travers de moments difficiles dans ses cours d’algèbre linéaire. J’en ai appris beaucoup sur le contexte et les nuances de l’éthique des technologies en regardant des conférences données par des experts en la matière. Et notre souci d’ouverture a permis l’expression de nouvelles voix et de nouvelles idées qui n’auraient pas eu de plateforme autrement. Des créateurs comme Marques Brownlee, MostlySane et NikkieTutorials ont inspiré des millions de personnes grâce à leur expertise, à leurs causes et à leur honnêteté. 

Notre système de recommandation s’améliore chaque jour grâce à vos commentaires, mais on peut toujours faire mieux. Mon équipe et moi sommes déterminés à poursuivre ce travail tout en vous offrant l’expérience la plus utile et profitable possible.

Publié par :  Cristos Goodrow, vice-président à l’ingénierie  

Depuis plus de dix ans, nous investissons au Canada pour devenir le partenaire de choix des entreprises du pays pour l’infonuagique. Qu’elles appartiennent aux secteurs des services financiers, des médias et du divertissement, du commerce de détail ou des télécommunications ou au secteur public, les organisations situées ou exploitées au Canada sont de plus en plus nombreuses à choisir Google Cloud pour les aider à créer des applications plus efficaces et plus rapides, à stocker des données, à offrir des expériences impressionnantes à leurs utilisateurs, le tout sur le nuage le plus propre de l’industrie. Pour soutenir cette clientèle croissante, nous avons le plaisir d’annoncer que la nouvelle région Google Cloud de Toronto est désormais ouverte. 


Comme vous pouvez vous y attendre, nous sommes ravis de cette nouvelle, mais nous ne sommes pas les seuls à attendre ce lancement avec impatience. Nous avons demandé à certains de nos clients qui exercent leurs activités au Canada de nous donner leur avis sur la région Cloud à venir. Voici ce qu’ils avaient à dire :

« Chez Accenture, nous réunissons la technologie et l’ingéniosité humaine pour créer et répondre au changement. Nous sommes enchantés d’unir nos forces à celles de Google Cloud et de sa toute nouvelle région à Toronto, avec un objectif commun important : accélérer l’innovation en infonuagique au Canada. Nos clients nous connaissent déjà pour notre connaissance approfondie du secteur, notre expertise en infonuagique et nos prestations reconnues sur le marché. Nous combinons maintenant cela avec la conception centrée sur l’humain de Google pour offrir encore plus de possibilités à nos clients dans tous les secteurs. »  - Jeffrey Russell, président d’Accenture au Canada. 

« Nous sommes ravis de l’engagement de Google au Canada. Nous sommes impatients d’aider nos clients communs à transformer leurs opérations, en tirant parti du dernier centre de données de Google Cloud à Toronto. Chez Deloitte, nous sommes d’avis que le nuage représente la possibilité par excellence de tout repenser. » - Terry Stuart, directeur de la stratégie numérique de Deloitte, Canada. 

« Alors que les organisations canadiennes s’appuient de plus en plus sur l’infonuagique pour transformer leurs activités, nous sommes enthousiasmés par les nouvelles possibilités que la région Google Cloud de Toronto apporte au marché. Nous sommes impatients de poursuivre notre solide partenariat avec Google Cloud pour apporter des solutions personnalisées et innovantes qui aident les entreprises canadiennes à réaliser pleinement la valeur de la technologie infonuagique, afin qu’elles puissent être compétitives et gagner sur la scène mondiale. »  - Andrew Caprara, chef de l’exploitation, Softchoice


« Nous simplifions, modernisons et numérisons la Banque Scotia afin d’améliorer l’expérience client de nos 25 millions de clients à travers le monde. En exploitant de puissants services basés sur le nuage, notamment Google Cloud, nous sommes en mesure de mettre les outils de génie logiciel, d’analyse des données et d’apprentissage machine les plus avancés entre les mains de nos employés talentueux. Nous nous félicitons de l’investissement de Google Cloud à Toronto et nous nous réjouissons des possibilités que la région Cloud de Toronto offrira à notre groupe Technologie. » - Michael Zerbs, chef de groupe, Technologie et opérations, Banque Scotia


« Notre alliance avec Google est vraiment distinctive sur le marché canadien, car nous travaillons ensemble pour co-innover et créer de nouveaux services destinés à des secteurs clés, notamment la technologie des communications, les soins de santé, l’agriculture, la sécurité et la maison connectée. La nouvelle région Cloud à Toronto marque une autre étape clé qui propulsera le leadership numérique de TELUS en tirant davantage parti de l’évolutivité, de la fiabilité et de la rentabilité de Google Cloud pour améliorer l’expérience client et bâtir des communautés plus fortes, plus saines et plus durables. »  - Hesham Fahmy, directeur du développement, TELUS


« Les technologies infonuagiques, ainsi que l’accès à des calculs évolutifs, à de riches ensembles de données géospatiales et à des outils d’analyse intelligents, contribueront de façon essentielle à soutenir l’action climatique et les décisions stratégiques durables. À Ressources naturelles Canada, les scientifiques et les chercheurs appliquent des solutions numériques novatrices pour soutenir le secteur des ressources naturelles du Canada. La nouvelle région Google Cloud à Toronto fournira à nos scientifiques, technologues et chercheurs les produits et services nécessaires pour transformer les données terrestres en informations exploitables. »  - Vik Pant, Ph. D., scientifique en chef et conseiller scientifique en chef, Ressources naturelles Canada 


Toronto se joint aux 27 régions Google Cloud existantes connectées par l’intermédiaire de notre réseau haute performance, ce qui permet aux clients de mieux servir leurs utilisateurs et leurs clients dans le monde entier. En combinaison avec notre région de Montréal, les clients bénéficient désormais d’une meilleure planification de la continuité des activités grâce à l’infrastructure distribuée et sécurisée nécessaire pour répondre aux exigences informatiques et commerciales en matière de reprise après catastrophe, tout en préservant la souveraineté des données. 


Le lancement de la nouvelle région s’accompagne de trois zones, qui permettent aux organisations de toutes tailles et de tous secteurs de distribuer leurs applications et leur stockage afin de se protéger contre les interruptions de service, et de notre portefeuille de base de produits Google Cloud Platform, y compris Compute Engine, App Engine, Google Kubernetes Engine, Bigtable, Spanner et BigQuery.


Nous nous efforçons de vous proposer de nouveaux produits et de nouvelles capacités infonuagiques au Canada, et nous avons pour objectif de vous permettre d’accéder à ces services avec rapidité et aisance, où que vous soyez au pays. L’année écoulée a montré à quel point la facilité d’accès à l’infrastructure numérique, à la formation technique, à la formation et au soutien est importante pour aider les entreprises à faire face à la pandémie. Nous sommes particulièrement fiers des équipes qui ont relevé les défis particuliers de la création d’une région Cloud pendant cette période pour aider nos clients et notre communauté à accélérer leur transformation numérique.  


Pour soutenir tous nos utilisateurs, clients et organismes gouvernementaux au Canada, nous continuerons d’investir dans de nouvelles infrastructures et dans le soutien technique et les solutions. Nous organisons actuellement notre tout premier accélérateur Google Cloud Canada afin d’offrir le meilleur des programmes, des produits, du personnel et de la technologie de Google aux jeunes entreprises qui entreprennent des travaux intéressants en infonuagique. Nous avons récemment reçu l’accréditation Protégé B du Centre canadien pour la cybersécurité, qui est essentielle pour les secteurs de la santé et de l’éducation et les secteurs réglementés qui adoptent des services infonuagiques. Nous avons également le plaisir d’annoncer l’avant-première de la solution Assured Workloads pour le Canada, une fonctionnalité qui vous permet de sécuriser et de configurer des charges de travail sensibles conformément à vos exigences réglementaires ou stratégiques particulières. 


Pour obtenir de l’aide pour migrer vers Google Cloud, veuillez communiquer avec nos partenaires locaux. Pour en savoir plus sur les régions Google Cloud, veuillez consulter notre page Emplacements Cloud, où vous trouverez des mises à jour sur la disponibilité de services et de régions supplémentaires. Vous pouvez toujours communiquer avec nous si vous avez besoin d’aide pour démarrer ou accéder à nos nombreuses ressources éducatives. Nous sommes impatients de voir ce que vous allez créer avec Google Cloud. 


Depuis plus de dix ans, nous investissons au Canada pour devenir le partenaire de choix des entreprises du pays pour l’infonuagique. Qu’elles appartiennent aux secteurs des services financiers, des médias et du divertissement, du commerce de détail ou des télécommunications ou au secteur public, les organisations situées ou exploitées au Canada sont de plus en plus nombreuses à choisir Google Cloud pour les aider à créer des applications plus efficaces et plus rapides, à stocker des données, à offrir des expériences impressionnantes à leurs utilisateurs, le tout sur le nuage le plus propre de l’industrie. Pour soutenir cette clientèle croissante, nous avons le plaisir d’annoncer que la nouvelle région Google Cloud de Toronto est désormais ouverte. 


Comme vous pouvez vous y attendre, nous sommes ravis de cette nouvelle, mais nous ne sommes pas les seuls à attendre ce lancement avec impatience. Nous avons demandé à certains de nos clients qui exercent leurs activités au Canada de nous donner leur avis sur la région Cloud à venir. Voici ce qu’ils avaient à dire :

« Chez Accenture, nous réunissons la technologie et l’ingéniosité humaine pour créer et répondre au changement. Nous sommes enchantés d’unir nos forces à celles de Google Cloud et de sa toute nouvelle région à Toronto, avec un objectif commun important : accélérer l’innovation en infonuagique au Canada. Nos clients nous connaissent déjà pour notre connaissance approfondie du secteur, notre expertise en infonuagique et nos prestations reconnues sur le marché. Nous combinons maintenant cela avec la conception centrée sur l’humain de Google pour offrir encore plus de possibilités à nos clients dans tous les secteurs. »  - Jeffrey Russell, président d’Accenture au Canada. 

« Nous sommes ravis de l’engagement de Google au Canada. Nous sommes impatients d’aider nos clients communs à transformer leurs opérations, en tirant parti du dernier centre de données de Google Cloud à Toronto. Chez Deloitte, nous sommes d’avis que le nuage représente la possibilité par excellence de tout repenser. » - Terry Stuart, directeur de la stratégie numérique de Deloitte, Canada. 

« Alors que les organisations canadiennes s’appuient de plus en plus sur l’infonuagique pour transformer leurs activités, nous sommes enthousiasmés par les nouvelles possibilités que la région Google Cloud de Toronto apporte au marché. Nous sommes impatients de poursuivre notre solide partenariat avec Google Cloud pour apporter des solutions personnalisées et innovantes qui aident les entreprises canadiennes à réaliser pleinement la valeur de la technologie infonuagique, afin qu’elles puissent être compétitives et gagner sur la scène mondiale. »  - Andrew Caprara, chef de l’exploitation, Softchoice


« Nous simplifions, modernisons et numérisons la Banque Scotia afin d’améliorer l’expérience client de nos 25 millions de clients à travers le monde. En exploitant de puissants services basés sur le nuage, notamment Google Cloud, nous sommes en mesure de mettre les outils de génie logiciel, d’analyse des données et d’apprentissage machine les plus avancés entre les mains de nos employés talentueux. Nous nous félicitons de l’investissement de Google Cloud à Toronto et nous nous réjouissons des possibilités que la région Cloud de Toronto offrira à notre groupe Technologie. » - Michael Zerbs, chef de groupe, Technologie et opérations, Banque Scotia


« Notre alliance avec Google est vraiment distinctive sur le marché canadien, car nous travaillons ensemble pour co-innover et créer de nouveaux services destinés à des secteurs clés, notamment la technologie des communications, les soins de santé, l’agriculture, la sécurité et la maison connectée. La nouvelle région Cloud à Toronto marque une autre étape clé qui propulsera le leadership numérique de TELUS en tirant davantage parti de l’évolutivité, de la fiabilité et de la rentabilité de Google Cloud pour améliorer l’expérience client et bâtir des communautés plus fortes, plus saines et plus durables. »  - Hesham Fahmy, directeur du développement, TELUS


« Les technologies infonuagiques, ainsi que l’accès à des calculs évolutifs, à de riches ensembles de données géospatiales et à des outils d’analyse intelligents, contribueront de façon essentielle à soutenir l’action climatique et les décisions stratégiques durables. À Ressources naturelles Canada, les scientifiques et les chercheurs appliquent des solutions numériques novatrices pour soutenir le secteur des ressources naturelles du Canada. La nouvelle région Google Cloud à Toronto fournira à nos scientifiques, technologues et chercheurs les produits et services nécessaires pour transformer les données terrestres en informations exploitables. »  - Vik Pant, Ph. D., scientifique en chef et conseiller scientifique en chef, Ressources naturelles Canada 


Toronto se joint aux 27 régions Google Cloud existantes connectées par l’intermédiaire de notre réseau haute performance, ce qui permet aux clients de mieux servir leurs utilisateurs et leurs clients dans le monde entier. En combinaison avec notre région de Montréal, les clients bénéficient désormais d’une meilleure planification de la continuité des activités grâce à l’infrastructure distribuée et sécurisée nécessaire pour répondre aux exigences informatiques et commerciales en matière de reprise après catastrophe, tout en préservant la souveraineté des données. 


Le lancement de la nouvelle région s’accompagne de trois zones, qui permettent aux organisations de toutes tailles et de tous secteurs de distribuer leurs applications et leur stockage afin de se protéger contre les interruptions de service, et de notre portefeuille de base de produits Google Cloud Platform, y compris Compute Engine, App Engine, Google Kubernetes Engine, Bigtable, Spanner et BigQuery.


Nous nous efforçons de vous proposer de nouveaux produits et de nouvelles capacités infonuagiques au Canada, et nous avons pour objectif de vous permettre d’accéder à ces services avec rapidité et aisance, où que vous soyez au pays. L’année écoulée a montré à quel point la facilité d’accès à l’infrastructure numérique, à la formation technique, à la formation et au soutien est importante pour aider les entreprises à faire face à la pandémie. Nous sommes particulièrement fiers des équipes qui ont relevé les défis particuliers de la création d’une région Cloud pendant cette période pour aider nos clients et notre communauté à accélérer leur transformation numérique.  


Pour soutenir tous nos utilisateurs, clients et organismes gouvernementaux au Canada, nous continuerons d’investir dans de nouvelles infrastructures et dans le soutien technique et les solutions. Nous organisons actuellement notre tout premier accélérateur Google Cloud Canada afin d’offrir le meilleur des programmes, des produits, du personnel et de la technologie de Google aux jeunes entreprises qui entreprennent des travaux intéressants en infonuagique. Nous avons récemment reçu l’accréditation Protégé B du Centre canadien pour la cybersécurité, qui est essentielle pour les secteurs de la santé et de l’éducation et les secteurs réglementés qui adoptent des services infonuagiques. Nous avons également le plaisir d’annoncer l’avant-première de la solution Assured Workloads pour le Canada, une fonctionnalité qui vous permet de sécuriser et de configurer des charges de travail sensibles conformément à vos exigences réglementaires ou stratégiques particulières. 


Pour obtenir de l’aide pour migrer vers Google Cloud, veuillez communiquer avec nos partenaires locaux. Pour en savoir plus sur les régions Google Cloud, veuillez consulter notre page Emplacements Cloud, où vous trouverez des mises à jour sur la disponibilité de services et de régions supplémentaires. Vous pouvez toujours communiquer avec nous si vous avez besoin d’aide pour démarrer ou accéder à nos nombreuses ressources éducatives. Nous sommes impatients de voir ce que vous allez créer avec Google Cloud. 


Nous avons lancé les abonnements YouTube il y a presque six ans et nous sommes aujourd'hui heureux d'annoncer que n ...
Nous avons lancé les abonnements YouTube il y a presque six ans et nous sommes aujourd'hui heureux d'annoncer que nous avons dépassé les 50 millions d'abonnés Music et Premium (essais gratuits inclus). C'est un réel honneur de développer des abonnements qui permettent aux utilisateurs de se plonger pleinement dans la musique, l'apprentissage, la mode, les jeux vidéo et bien plus encore, tout en soutenant les créateurs et les artistes qui rendent tout cela possible. Les abonnements Music et Premium sont des piliers de la monétisation sur YouTube et permettent le développement de contenus et de communautés uniques. 

À mesure que nous continuons à lancer de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux avantages pour nos abonnés, nous mettons tout en œuvre pour créer des expériences mêlant visionnage, écoute et engagement, qui sont possibles grâce à l'incroyable diversité des points de vue présentés sur YouTube. 

Vous trouverez ci-dessous une lettre de Lyor Cohen, Global Head of Music, qui a récemment célébré cette étape importante avec nos partenaires de l'industrie musicale. 

Je le répète souvent : les deux moteurs de croissance de YouTube, les annonces et les abonnements, sont essentiels pour atteindre notre objectif de devenir la première source de revenus de l'industrie musicale. Nous avons récemment annoncé que YouTube avait versé quatre milliards de dollars à cette industrie au cours des 12 derniers mois

Aujourd'hui, je suis heureux de partager un autre cap important que nous avons franchi grâce à nos services d'abonnement : YouTube a dépassé les 50 millions d'abonnés Music et Premium, essais gratuits inclus, et est le service d'abonnement musical connaissant la plus forte croissance du marché (MiDIA)

Nous n'aurions pas pu atteindre ce chiffre sans vous et nous avons hâte de continuer à développer ensemble notre service d'abonnement de pointe. 

Comment avons-nous atteint ce résultat, et quel est notre prochain objectif ? 

YouTube Music et YouTube Premium sont des produits remarquables, qui offrent des avantages absolument uniques aux artistes et aux créateurs, ainsi qu'une expérience optimale aux fans de musique et aux amateurs de vidéos. Notre plate-forme est incomparable : c'est la seule où les utilisateurs peuvent profiter sans interruption du catalogue de musique, d'artistes et de cultures le plus important et le plus varié du marché. Nous permettons aux fans de musique de trouver et d'explorer facilement les contenus qui leur plaisent, que ce soit sur YouTube ou dans l'application YouTube Music. 

Quand Lil Nas X a sorti le clip du titre INDUSTRY BABY avec Jack Harlow, les fans du monde entier l'ont découvert ensemble en participant à la Première organisée par les artistes. Toutefois, l'expérience et l'engagement des fans avec le dernier titre de Lil Nas X ne se sont pasarrêtés là. Ils ont pu apprendre les paroles, en découvrir un décryptage par les deux artistes,créer un Short YouTube à partir du morceau, écouter les autres titres de Lil Nas X et découvrir son histoire à travers ses propres yeux. Aucune autre plate-forme n'offre aux fans de musique un tel niveau d'engagement et de découverte. 

Les possibilités d'expériences personnalisées sont quasiment infinies et sont rendues possibles par les artistes et les fans qui se rendent sur YouTube et YouTube Music chaque jour pour regarder, créer et partager des contenus musicaux, laisser des commentaires, ou encore publier des reprises ou des remix. 

Cette exploration sans limites est encore améliorée grâce à YouTube Premium. Les abonnés peuvent profiter de tous les contenus YouTube et YouTube Music sans interruption ni publicité. Cela leur permet d'interagir davantage avec les artistes et les créateurs, et de se plonger pleinement dans leurs contenus préférés, qu'ils portent sur la musique, l'apprentissage, la mode ou encore Fortnite

L'offre unique de YouTube Music et Premium est populaire à la fois sur les marchés musicaux déjà établis et sur les marchés émergents. Nous enregistrons une croissance impressionnante au Brésil, en Corée, en Inde, au Japon et en Russie, où les fans de musique sont nombreux. 

Nous investissons également dans de nouvelles fonctionnalités et des avantages exclusifs pour nos abonnés. Par exemple, Tim McGraw a organisé un after réservé aux abonnés Premium immédiatement après la sortie de son nouveau clip musical. De telles expériences intimistes sont aussi avantageuses pour les artistes que pour les abonnés Premium, vous devriez donc en voir encore plus à l'avenir. 

Nous n'avons pas prévu de ralentir la cadence ! Merci de nous accompagner dans cette aventure.  

Cordialement,
Lyor Cohen, Chef mondial de la musique, YouTube