Les Canadiens sont réputés à travers le monde pour beaucoup de choses, notamment le hockey, leur sport national, leur sens de l’humour, et leur météo, à l’occasion, maussade. Mais ce que vous ignorez peut-être est qu’au cœur même de ...
Les Canadiens sont réputés à travers le monde pour beaucoup de choses, notamment le hockey, leur sport national, leur sens de l’humour, et leur météo, à l’occasion, maussade. Mais ce que vous ignorez peut-être est qu’au cœur même de Montréal s’active le tiers des effectifs de l’équipe internationale anti-maliciels de Google – d’éminents ingénieurs en sécurité informatique qui aident à protéger près d’un milliard d’internautes à travers le monde au cours de leurs activités sur le Web.

Au cours des six dernières années, nos ingénieurs de Montréal ont planché sur deux des plus importantes menaces informatiques : les logiciels malveillants (ou maliciels), qui peuvent prendre le contrôle de votre ordinateur, et le filoutage, qui consiste à obtenir des mots de passe ou des renseignements personnels dans le but de perpétrer une usurpation d’identité.

Aujourd’hui, Google a lancé une nouvelle section sous sa rubrique Transparence des informations, qui jette plus de lumière sur la portée et sur les sources de ces menaces à l’échelle mondiale. Maintenant, quand nous signalons que nous détectons jusqu’à 10 000 sites malveillants par jour, vous êtes en mesure de mieux comprendre : le nombre d’internautes qui reçoivent des messages d’alerte Safe Browsing toutes les semaines, les serveurs où sont hébergés les sites malveillants, et la vitesse à laquelle certains sites dont réinfectés quand les failles persistent.


Le travail que nous effectuons pour identifier les mauvais sites et prévenir les internautes au moyen de notifications est également transmis à d’autres développeurs informatiques et fournisseurs d’accès à Internet, dont Mozilla Firefox et Apple Safari. Alors, où que vous soyez au monde, si l’un des dix millions de messages d’alerte que nous émettons chaque semaine s’affiche à votre écran, ne courez pas de risque, naviguez ailleurs et pensez à Montréal!

Pour plus de renseignements, lisez la nouvelle section sur la navigation sécuritaire sous la rubrique Transparence des informations du blogue officiel de Google.

 Publié par Fabrice Jaubert, ingénieur en sécurité, Google Canada

Nous sommes très heureux de commencer à recruter en vue de la deuxième édition annuelle du Programme des étudiants ambassadeurs de Google Canada. Vous êtes passionné de nouvelles technologies? Les produits de Google vous emballent? Vous vous impliquez dans votre milieu étudiant? Si oui, vous devriez vous inscrire dès maintenant pour saisir l’occasion d’agir comme agent de liaison entre Google et votre université.
Nous sommes très heureux de commencer à recruter en vue de la deuxième édition annuelle du Programme des étudiants ambassadeurs de Google Canada. Vous êtes passionné de nouvelles technologies? Les produits de Google vous emballent? Vous vous impliquez dans votre milieu étudiant? Si oui, vous devriez vous inscrire dès maintenant pour saisir l’occasion d’agir comme agent de liaison entre Google et votre université.

Les candidatures sont maintenant ouvertes! La date limite des inscriptions est fixée au dimanche 7 juillet 2013. Inscrivezvous au moyen de ce lien.

Pour toutes questions, veuillez communiquer avec canada_university_program@google.com

Publié par Jeffrey Lui, Google Canada Ambassador Program Recruiting Manager Team

Grâce à Google Disque, vous pouvez stocker vos fichiers et y accéder où que vous soyez : sur le Web, depuis votre disque dur, sur votre téléphone ou en déplacement. Que vous soyez amené à faire une présentation au cours d'un conseil d'administration à São Paulo ou à négocier un contrat en japonais à Tokyo, Google Disque parle votre langue. L'application propose ...
Grâce à Google Disque, vous pouvez stocker vos fichiers et y accéder où que vous soyez : sur le Web, depuis votre disque dur, sur votre téléphone ou en déplacement. Que vous soyez amené à faire une présentation au cours d'un conseil d'administration à São Paulo ou à négocier un contrat en japonais à Tokyo, Google Disque parle votre langue. L'application propose 65 langues au total, dont le français canadien. Voici les 18 nouvelles langues lancées aujourd'hui :

afrikaans, amharique, basque, chinois (Hong Kong), estonien, 
français (Canada), galicien, islandais, khmer, laotien, malaisien, népalais, persan, 
sinhala, espagnol (Amérique latine), swahili, urdu et zulu. 

De plus, vous pouvez changer de langue aussi souvent que vous le souhaitez.

Vous aimez travailler en équipe? Quelle que soit l'application Google Disque utilisée (Documents, Feuilles de calcul, Présentations, Formulaires), vous pouvez travailler en temps réel dans la langue de votre choix, même si vos collaborateurs utilisent une autre langue.
Pour essayer les diverses applications de Google Disque dans une autre langue, rien de plus simple :
  1. Cliquer sur l'icône représentant une route dentée  dans l'angle supérieur droit, puis sélectionnez Paramètres. 
  2. Sous Général, sélectionnez une langue dans le menu déroulant de la section Langue. 
  3. Cliquez sur Enregistrer. Vous avez terminé! 

Pour changer la langue de Google Disque sur votre appareil mobile, modifiez simplement les paramètres de votre appareil. Si vous n'avez pas encore installé l'application Google Disque sur votre appareil mobile, rendez-vous sur Google Play ou sur l'App Store d'Apple pour la télécharger. Si vous n'avez encore jamais utilisé Google Disque, cliquez ici pour commencer.

 Publié par Ian Hill, Project Manager, Google Localization

Alors que les dirigeants des pays du G8 se réunissent pour leur sommet en Irlande du Nord cette semaine, ils se pencheront sur l’utilisation des données ouvertes dans le domaine public pour promouvoir ...
Alors que les dirigeants des pays du G8 se réunissent pour leur sommet en Irlande du Nord cette semaine, ils se pencheront sur l’utilisation des données ouvertes dans le domaine public pour promouvoir l’innovation et la transparence, c’est le moment de faire le point avec des experts canadiens sur la progression tant attendue de l’approche canadienne en matière de données ouvertes.

Pour un coup d’œil sur les plus récentes réalisations du Canada en matière de gouvernance ouverte et de données publiques, joignez-vous mardi le 18 juin, à 14 heures HAE, à la conversation du président du Conseil du Trésor, Tony Clement, avec Hannah Sung du quotidien The Globe and Mail, lors d’un Google Hangout en compagnie de :
  • L’honorable Jason Kenney, ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration 
  • Robert Herjavec, entrepreneur et vedette de Shark Tank 
  • Chris O’Neill, directeur général, Google Canada 
  • Ashley Casovan, stratège, Technologies de l’information, ville d’Edmonton 

Voici comment vous pouvez participer mardi :
  • Suivez le Hangout en direct sur +globeandmail ou sur www.data.gc.ca 
  • Faites-nous parvenir vos questions pour le panel sur notre page Google+ à +GoogleCanada #donnéesouvertes 
  • Joignez-vous à la conversation sur Google+ et Twitter (@googlecanada) avec les mots-clics #donnéesGC #donnéesouvertes #gouvert 
Publié par Leslie Church, Google Canada

La Compagnie de la Baie d’Hudson est peut-être la plus ancienne compagnie commerciale en Amérique du Nord, mais en matière de numérique, elle est résolument tournée vers l’avenir. À l’instar de nombreux détaillants avisés, la HBC a découvert qu’une présence en ligne devenait de plus en plus cruciale pour les ventes en général. Alors que les consommateurs magasinent de plus en plus sur de nombreux sites, les détaillants doivent reconsidérer leur perception du retour sur investissement en tenant mieux compte de la façon et de l’endroit où les consommateurs font leurs achats.
La Compagnie de la Baie d’Hudson est peut-être la plus ancienne compagnie commerciale en Amérique du Nord, mais en matière de numérique, elle est résolument tournée vers l’avenir. À l’instar de nombreux détaillants avisés, la HBC a découvert qu’une présence en ligne devenait de plus en plus cruciale pour les ventes en général. Alors que les consommateurs magasinent de plus en plus sur de nombreux sites, les détaillants doivent reconsidérer leur perception du retour sur investissement en tenant mieux compte de la façon et de l’endroit où les consommateurs font leurs achats.

Bien que 93% des Canadiens utilisent la recherche en ligne pour trouver des produits et services, seulement 1% des ventes au détail sont effectuées en ligne au Canada, car de nombreux consommateurs utilisent l’Internet comme un outil de recherche de confiance avant de faire leurs achats en magasin. La HBC voulait comprendre l’impact de la publicité liée aux recherches en ligne sur les ventes en magasin. À cette fin, elle a travaillé avec Google pour mener la première expérience au Canada sur le phénomène web-to-store.



Aujourd’hui, dans le cadre de l’événement Store Conference, nous avons présenté les résultats de l’expérience, qui sont parmi les plus éloquents que nous ayons vus. Pour chaque 1 $ dépensé en publicité liée aux recherches en ligne, la HBC a réalisé 14,40 $ de ventes en magasin, soit une augmentation de 2,6% de la totalité des ventes en magasin. En comparaison, au cours des plus de 50 expériences sur le web-to-store réalisées aux États-Unis, l’augmentation de la totalité des ventes en magasin s’établissait entre 1,6% et 2%.

Selon Christina Callas, première vice-présidente, e-Commerce et Marketing numérique, chez HBC, cela confirme que la publicité liée aux recherches sur Google est non seulement un outil d’achat en ligne efficace, mais aussi un important levier pour attirer le client en magasin. Elle ajoute : « Nous devons être présents là où nos clients font leurs recherches sur les produits que nous vendons. En tant que détaillant, la publicité liée aux recherches en ligne est le meilleur investissement marketing possible. »

Pour plus de renseignements sur la façon dont les marques utilisent le marketing numérique pour augmenter leurs ventes, consultez le site www.google.ca/think.

Publié par Andrew Swartz, Google Canada