C’est un secret de polichinelle que l’Internet a changé notre façon de magasiner les biens et services: 93% des consommateurs canadiens en ligne ont recours à l’Internet pour se documenter sur les produits et services. En ajoutant notre appétit vorace pour les vidéos en ligne, on arrive à 30 heures de visionnement par mois par personne, selon comScore. Pas étonnant que ...
C’est un secret de polichinelle que l’Internet a changé notre façon de magasiner les biens et services: 93% des consommateurs canadiens en ligne ont recours à l’Internet pour se documenter sur les produits et services. En ajoutant notre appétit vorace pour les vidéos en ligne, on arrive à 30 heures de visionnement par mois par personne, selon comScore. Pas étonnant que nous fassions confiance aux vidéos pour nous guider dans nos décisions d’achats.

Cet automne, les commentaires sur le magasinage abondent sur YouTube. Les vidéos « trouvailles », dans lesquelles les gens décrivent leurs « trouvailles » lors de récentes virées dans les magasins, connaissent notamment un succès fulgurant.

 

En publiant leurs récentes trouvailles sur YouTube, les blogueurs partagent leurs recommandations non seulement avec leurs proches, mais aussi avec un auditoire de milliers d’abonnés et de millions de visiteurs. Ainsi, le partenaire YouTube canadien Beautycakez a à son actif plus de 10 millions de visionnements pour ses vidéos sur la mode et le style de vie. Près de 600 000 vidéos « trouvailles » se retrouvent sur YouTube, dont plus de 35 000 qui ont été téléchargées au cours du mois dernier uniquement.

Depuis que les recherches de vidéos sous les rubriques « trouvailles » et « retour en classe » ont atteint un sommet sans précédent sur YouTube Canada, les experts en mise en marché incluent plus que jamais la vidéo à leur stratégie numérique de retour en classe. Consultez YouTube pour apprendre à tirer profit de la vidéo pour promouvoir votre entreprise.

Bonne nouvelle pour les 14 millions de Canadiens qui raffolent du vélo!

Dès aujourd’hui, Google Maps pour Android offrira aux cyclistes la navigation avec directives vocales, virage-par-virage. En fait, les plus de 530 kilomètres de pistes cyclables répertoriées dans Google Maps équivalent à 13 fois la distance du tour du monde. Aidez-nous à ajouter encore d’autres routes conviviales pour les cyclistes au moyen de Google Map Maker et téléchargez la dernière version de Google Maps pour Android pour profiter du formidable réseau de voies cyclables au Canada.
Bonne nouvelle pour les 14 millions de Canadiens qui raffolent du vélo!

Dès aujourd’hui, Google Maps pour Android offrira aux cyclistes la navigation avec directives vocales, virage-par-virage. En fait, les plus de 530 kilomètres de pistes cyclables répertoriées dans Google Maps équivalent à 13 fois la distance du tour du monde. Aidez-nous à ajouter encore d’autres routes conviviales pour les cyclistes au moyen de Google Map Maker et téléchargez la dernière version de Google Maps pour Android pour profiter du formidable réseau de voies cyclables au Canada.

Grâce à son nouveau blogue officiel, Google Canada a l’intention de vous présenter chaque semaine des vidéos et des chaînes incroyables sur YouTube, créées par des Canadiens à travers le pays. Aujourd’hui, nous vous présentons un jeune autiste âgé de 10 ans, Jordan Hillkowitz, un partenaire YouTube dont la passion pour la science est inspirante. ...
Grâce à son nouveau blogue officiel, Google Canada a l’intention de vous présenter chaque semaine des vidéos et des chaînes incroyables sur YouTube, créées par des Canadiens à travers le pays. Aujourd’hui, nous vous présentons un jeune autiste âgé de 10 ans, Jordan Hillkowitz, un partenaire YouTube dont la passion pour la science est inspirante.

Diagnostiqué comme souffrant d’autisme sévère dès 18 mois, Jordan Hilkowitz n’a pas parlé avant l’âge de cinq ans et sa maman, Stacey, se demandait s’il pourrait un jour fréquenter l’école et se faire des amis.

Très jeune, cependant, une chose était certaine : Jordan adorait les sciences. Et, il y a environ un an, il a commencé à publier sur YouTube de simples expériences scientifiques à faire soi-même, depuis sa cuisine de Richmond Hill, Ontario. Aujourd’hui, pour un nombre croissant de personnes autour du monde, Jordan est peut-être mieux connu sous le nom de Docteur Mad Science. Sa chaîne a attiré des millions de visiteurs.



Qu’il s’agisse de faire entrer un œuf dans une bouteille ou de construire ses propres fusées à tête explosive, les vidéos de Jordan aident les enfants à découvrir la magie de la science, tout en alimentant le débat sur la façon dont le Web peut aider les enfants atteints d’autisme à s’intégrer dans leur milieu. Dans le cas de Jordan, se glisser dans la peau de Docteur Mad Science a contribué à lui donner de l’assurance et à améliorer son élocution, et lui a permis de se faire de véritables amis qui partagent sa passion pour la science.

Avec plus de 7 000 abonnés et 2,5 millions de visionnements, les vidéos de Jordan sont un franc succès et son histoire a été rapportée, notamment, dans le Los Angeles Times, Scientific American, Canada AM, The Globe and Mail, etc.

Si votre voisin d’à côté commence soudainement à se promener avec une lampe à lave faite maison qui ne dégage pas de chaleur, vous saurez d’où elle vient!

CAMBRIDGE BAY, NUNAVUT -- Il y a quelques jours, la garderie de Cambridge Bay faisait son entrée sur Google Map. Ce fut ensuite au tour du magasin Northern, de l’école secondaire, du centre de mieux-être et de la succursale bancaire. Enfin, après l’ajout d’une douzaine de commerces et de rues, l’ancienne église de pierre de la rue Ovayuk apparaissait aussi sur la carte Google Map de cette communauté arctique éloignée.
CAMBRIDGE BAY, NUNAVUT -- Il y a quelques jours, la garderie de Cambridge Bay faisait son entrée sur Google Map. Ce fut ensuite au tour du magasin Northern, de l’école secondaire, du centre de mieux-être et de la succursale bancaire. Enfin, après l’ajout d’une douzaine de commerces et de rues, l’ancienne église de pierre de la rue Ovayuk apparaissait aussi sur la carte Google Map de cette communauté arctique éloignée.

 
Carte de Cambridge Bay

Tout cela s’est passé en l’espace de quelques heures dans le cadre d’une activité MapUp animée par l’expert en cartographie de Cambridge Bay, Chris Kalluk, et l’équipe de Google Maps. C’était fascinant d’observer 16 résidents de l’endroit utiliser Google Map Maker pour s’assurer que la communauté qu’ils connaissent à fond soit reflétée correctement sur cette carte du 21e siècle.

Les résidents de Cambridge Bay lors de la session MapUp 

Hier et aujourd’hui, nous avons parcouru les routes de gravier de ce petit hameau sur le tricycle de Street View et capté des images d’intérieurs aussi, afin que dans quelques mois – une fois les images téléchargées – il soit possible de faire une visite virtuelle à 360 degrés des endroits qui ont été identifiés au cours de cette session MapUp très spéciale.

La session MapUp tire à sa fin 

La fébrilité était palpable dans la pièce où se déroulait la session MapUp mercredi soir. Non seulement parce que le centre des anciens apparaissait soudainement sur la carte. . . mais surtout du fait que Cambridge Bay et la culture des Inuits qui habitent la région avaient soudainement un auditoire planétaire.

Anna Nahogaloak, une aînée de la communauté et couturière de renom, a bien souligné l’importance du moment :
 « Je crois qu’il est important pour les Inuits de participer à la réalisation des cartes. C’est important pour tous. Cette terre appartient à tout le monde, et tous ensemble, nous la partageons. » 

Nous abondons dans le sens d’Anna. Et nous avons hâte de partager sa carte avec vous.

(Provenant du blogue officiel de Google)

Lancez une recherche pour [cambridge bay] dans Google Maps et vous atterrirez dans un petit hameau situé au fond de la région de Kitikmeot au Nunavut, dans l’Arctique canadien, parmi un dédale de toundra, de rivières et de glaces flottantes. Localisé au-delà du Cercle arctique, l’endroit n’est atteignable que par avion ou par bateau. En zoomant sur la carte, vous apercevrez une poignée de rues, portant des noms comme ...
(Provenant du blogue officiel de Google)

Lancez une recherche pour [cambridge bay] dans Google Maps et vous atterrirez dans un petit hameau situé au fond de la région de Kitikmeot au Nunavut, dans l’Arctique canadien, parmi un dédale de toundra, de rivières et de glaces flottantes. Localisé au-delà du Cercle arctique, l’endroit n’est atteignable que par avion ou par bateau. En zoomant sur la carte, vous apercevrez une poignée de rues, portant des noms comme Omingmak ( « bœuf musqué » ) et Tigiganiak ( « renard » ) dans ce village isolé qui compte 1 500 habitants.

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Cambridge Bay dans Google Maps

Cette carte recèle de récits remontant à 4 000 ans qui n’attendent qu’à être relatés. Aujourd’hui, nous nous donnons une mission ambitieuse, celle de raconter quelques-unes de ces histoires et de tracer la carte la plus complète de la région à ce jour. Il s’agit du point le plus au nord du Canada où s’est rendue l’équipe Street View de Google Maps lors de sa première visite au Nunavut. Grâce aux outils cartographiques du 21e siècle, nous responsabilisons à la fois une communauté et mettons Cambridge Bay sur la carte emblématique de demain.

Le hameau de Cambridge Bay

Nous ne sommes pas seuls pour réaliser ce projet. Nous avons l’appui de la communauté et de résidents comme Chris Kalluk. Nous avons rencontré Chris, qui travaille à la société sans but lucratif Nunavut Tunngavik, en septembre dernier lors de notre atelier Google Earth Outreach à Vancouver, au cours duquel il s’est familiarisé avec Google Maps et l’outil Google Map Maker. Aujourd’hui, Chris animait une activité communautaire à Cambridge Bay, qui réunissait, autour d’une douzaine de Chromebooks, des aînés du village, des experts en cartographie de la région et des ados d’une école secondaire avoisinante. Avec Map Maker, ils ont ajouté de nouvelles routes, des rivières et des lacs à la carte Google de Cambridge Bay et du Grand Nord canadien. Et ce n’est pas tout. Ils ont aussi indiqué en anglais et en inuktitut, l’une des langues officielles du Nunavut, l’emplacement de l’hôpital, de la garderie, du parcours de golf de neuf trous, du parc régional et, enfin, des vestiges d’une ancienne maison longue en pierre de la civilisation du Dorset, qui précède la culture inuite.

Catherine Moats, un membre de l’équipe MapMaker de Google, à l’oeuvre avec Chris Kalluk et d’autres participants de la session Map Up.

Maintenant, nous parcourons les routes de gravier du hameau sur le tricycle de Street View, doté d’un trépied — identique à celui qui est utilisé pour capter les images d’intérieurs corporatifs— pour photographier des endroits à couper le souffle. Nous offrirons à Chris et à d’autres personnes de la communauté une formation pour apprendre à utiliser cet équipement afin qu’ils puissent, à leur tour, se rendre dans d’autres communautés du Nunavut et compléter la carte la plus exhaustive et la plus précise qui soit de l’Arctique canadien. Comme Chris faisait remarquer, « cet endroit, si riche en histoire, regorge de connaissances locales. Grâce à ces outils, nous serons en mesure de raconter l’histoire du Nunavut au monde entier. »

Le tricycle de Street View captant des images de Cambridge Bay.

Où que vous soyez, restez avec nous. Nous avons hâte de partager avec vous la beauté spectaculaire et la richesse culturelle de l’Arctique canadien — l’une des régions les plus isolées de la planète qui sera bientôt, grâce à la communauté de Cambridge Bay, à portée d’un simple clic.




Il s’en passe des choses en dix ans.

Souvenez-vous qu’en 2002 Gmail ou YouTube n’existaient pas, votre téléphone mobile – si vous en aviez un – ne servait habituellement qu’à faire des appels, et le terme « réseaux sociaux » ne faisait pas encore partie du vocabulaire. Moins des ...



Il s’en passe des choses en dix ans.

Souvenez-vous qu’en 2002 Gmail ou YouTube n’existaient pas, votre téléphone mobile – si vous en aviez un – ne servait habituellement qu’à faire des appels, et le terme « réseaux sociaux » ne faisait pas encore partie du vocabulaire. Moins des deux tiers des ménages canadiens avaient une connexion Internet, nous étions à huit années des Jeux olympiques de Vancouver et les Maple Leafs de Toronto espéraient toujours remporter la Coupe Stanley. (Remarquez, cela n’a pas changé.)

Il y a dix ans, Google Canada installait son pignon sur rue à Toronto, l’un des premiers bureaux internationaux de Google. Depuis, Google a ouvert des bureaux à Kitchener-Waterloo et à Montréal, réunissant une brillante équipe de personnes que vous risquez tout aussi bien de voir s’adonner à l’escalade de mur intérieur ou glisser littéralement jusqu’à leur bureau, et ce, quel que soit le jour de la semaine.

Ce que beaucoup de gens ignorent, c’est la participation du Canada, au cours de cette période, dans le développement de nombreux produits qu’adorent les Canadiens – depuis le fureteur Chrome jusqu’à Gmail pour mobile – ou la reconnaissance dont jouissent les Canadiens dans le monde entier pour leur contribution exceptionnelle au Web, que ce soit pour lancer leur carrière musicale, nous faire rire ou découvrir de nouvelles façons de rejoindre les gens et d’en inspirer d’autres en ligne.

Nous utiliserons ce blogue pour partager certains de ces faits émanant du Canada et mettant des Canadiens en vedette, faire l’annonce de produits et d’événements Google, et donner un aperçu de la vie chez Google Canada. Nous souhaitons conserver ce blogue informel, même un peu ludique, grâce aux différents Canoogleurs – googleurs canadiens – qui publieront sur ce blogue.

Nous espérons surtout avoir de vos nouvelles. Faites parvenir vos commentaires sur notre page Google+ et laissez-nous savoir ce que vous pensez de nous et ce que vous aimeriez apprendre.

Au plaisir de découvrir ce que les dix prochaines années nous réservent et, entretemps, soyez à l’affût d’une semaine palpitante!

Chris